Amistad


DreamWorks EU (0600445003521)
DreamWorks US (0600445003521)
DreamWorks Japan (4988067032881)
Film | Releasedatum: 09/12/1997 | Film release: 1997 | Medium: CD
 

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# Track   Lengte
1.Dry Your Tears, Afrika4:18
2.Sierra Leone, 1839 and the Capture of Cinque3:39
3.Crossing the Atlantic3:21
4.Cinque's Theme4:12
5.Cinque's Memories of Home2:35
6.Middle Passage5:18
7.The Long Road to Justice3:16
8.July 4, 18394:01
9.Mr. Adams Takes the Case7:15
10.La Amistad Remembered5:08
11.The Liberation of Lomboko4:09
12.Adams' Summation2:55
13.Going Home2:02
14.Dry Your Tears, Afrika (Reprise)3:37
 55:46
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Amistad - 07/10 - Recensie van Vivien Robin, ingevoerd op (Frans)
Amistad est une pierre importante à l’édifice cinématographique de Steven Spielberg. Le film néanmoins, n’a pas fait grands bruits alors qu’il traite d’un sujet qui ne l’est vraiment pas moins, avec des images fortes et parfois réellement insoutenables.
John Williams retrouve son complice de toujours pour signer une partition orchestrale et chorale touchante et emprunte d’une rare émotion.

L’album débute avec ‘Dry Your Tears, Afrika’, véritable hymne à la liberté. Cette pièce fait évoluer un magnifique thème chanté par un chœur d’enfants suivit par des percussions ethniques. Mais John Williams, fidèle à ses codes, fait très vite intervenir l’orchestre avec des cordes et des cuivres rejouant encore et encore le thèmes principal dans des variations sublimes. Pourtant, bien que représentant la liberté, la paix et l’amour, ce thème possède ce petit arrière goût de mélancolie, en particulier vers la fin. Signe incontestable que l’on ne pourra jamais effacer les douleurs du passé. Musicalement, c’est réussit !
‘Sierra Leone, 1839; The Capture Of Cinque’ est cette fois plus tragique. Williams commence avec un chœur d’homme dans des sonorités tribales et des percussions du même genre. Et encore une fois, l’orchestre symphonique soutient l’ensemble avec beaucoup de justesse. Vers le milieu, le chœur d’enfants revient pour chanter le second thème, beaucoup plus dramatique. La deuxième partie du morceau se concentre autour d’une petite reprise de ce thème joué par une flûte.
‘Crossing the Atlantic’ est un des morceaux clef du score, car elle se situe sur ce qui est pour moi la scène clef du film. La plus tragique et dramatique scène du film avec des images inouïes et impensables, mais pourtant vraies. La musique de Williams retranscrit ces sentiments à travers une pièce chorale absolument magnifique et des accords de cuivres étonnants que je n’aurais pas imaginé avec ce genre de musique. Le coté dramatique de la scène est dû à 50% à cette musique, qui est un véritable personnage ici.
‘Cinque’s Theme’ est une repris du second thème principal évoqué dans le deuxième morceau. Pas grand-chose à dire, à part que les variations, tantôt aux cordes, tantôt aux cuivres se valent autant les unes que les autres.
‘Cinque’s Mermories of Home’ est une de ces pièces atmosphériques que Williams sais parfaitement écrire mais que ne m’apporte pas grand-chose d’un point de vue émotionnel. Cependant on notera la qualité des mélanges entre l’orchestre, la voix soliste et les percussions tribales. La justesse, encore une fois, est atteinte.
‘Middle Passage’ est une superbe pièce qui matérialise parfaitement la maîtrise de Williams face à sa partition. Les sons sont éthérés et sourds pour revenir sur une reprise très mélancolique du thème principal. Mais la conclusion est toute autre avec une reprise du premier thème principal de manière glorieuse et pleine d’espoir.
‘The Long Road to Justice’ est une pièce plus solennelle avec un thème apparenté à l’aspect politique de l’histoire. Personnellement, je n’accroche pas trop. Mais Williams sait vraiment y faire avec ce genre de chose et la qualité de l’orchestration est là, alors…
‘July 4, 1839’ est plus sombre que le reste avec un lit de basses lourdes. Le reste du morceau reste dans la veine atmosphérique et éthérée avec une ambiance à la Jurassic Park. Excellent ! Le morceau se conclue par la succession d’un motif de cordes dans un beau crescendo, puis decrescendo mêlé à une chorale tribale.
‘Mr. Adams Takes the Case’ reprend l’ambiance de ‘The Long Road to Justice’, en plus long !
‘La Amistad Remembered’ est encore une pièce atmosphérique qui ne fait pas vraiment évoluer les thèmes. Les percussions sont une fois de plus bien mises en valeur et savamment intégrées à la musique.
‘The Liberation of Lomboko’ commence par des accords de cordes et de vents sur des tons gaies et joyeux. Puis arrive la superbe reprise du thème principal pour la scène de la libération et la destruction du Fort de Lomboko. Le morceau est à peu près le même que ‘Dry Your Tears, Afrika’. On note quand même plus de pose dans les chœurs. Cette musique sublime la scène de manière exceptionnelle.
‘Adams' Summation’ reprend une ultime fois le thème solennel d’Adam. Les cuivres sont bien mis en valeur.
‘Going Home’ reprend le second thème principal dans des variations plus dramatiques pour la scène du retour de Cinque chez lui. Cette pièce est intégralement écrite pour les voix. Superbe.
Comme son nom l’indique, ‘Dry Your Tears, Afrika-Reprise’ est l’ultime reprise du thème principal qui ouvrait l’album.

Ce score à, pour moi, été une véritable surprise sur un score où je n’attendais absolument John Williams, ou alors, pas de cette façon. Seule ombre au tableau, la pauvreté de l’album où il manque de véritables chef-d’œuvres ou alors les morceaux ne sont pas en entier. Tant pis…

Merci John Williams pour cette superbe partition pleine de justesse et de vérités.
Amistad - 08/10 - Recensie van Tom Daish, ingevoerd op (Engels)
The latest offering from Messrs Spielberg and Williams will not likely rank as the best, at least score wise. Critical reaction to Williams' score to The Lost World was mixed at best, although the film and music failed to live up to expectations. Amistad is a much more mature film and hence has a much more grown up score. It gets off to a flying start with the fantastic anthem, Dry Your Tears, Afrika, which mixes some ethnic percussion with John Williams trumpet and horn fanfares as well as a moderately sized choir. Williams mixes the American orchestra with the African vocals extremely well. I wonder if it was meant to represent the mixing of the two cultures in the film. If so, I feel he achieved it much more subtly than Goldsmith's mixing of African, Irish and English in his score for The Ghost and the Darkness. Following are two tracks that are somewhat reminiscent of the more jungle orientated music of The Lost World, although in this case, much more subdued, but equally thrilling. It mixes in some low African vocals that actually recall the Monks from Seven Years in Tibet. Cinque's Theme is a nice, if somewhat unmemorable melody that is difficult to make out when it occurs at other times in the score.

The second half of the score almost totally eschews the African elements in favour of Copland-esque Americana, with solo trumpets and the like. This turn is represented best at the beginning of The Long Road to Justice where the new tone is boldly stated. The tone is also much more upbeat. It stays upbeat for much of the rest of the score, although July 4, 1839 returns to the much more sombre style of the first half. Strangely, this contains a brief string motif that appeared in Seven Years in Tibet, which for a Williams score is an odd occurrence. Mr Adams Takes the Case reintroduces the Americana with trumpet solos that occasionally hint at Horner's Apollo 13 score, which is most unusual. This is quite a long track that presumably underscores a great deal of dialogue and so it loses its way a little at times. The Liberation of Lomboko provides the only other full rendition of Dry Your Tears, Afrika other than the first and last tracks. This is somewhat less percussive, but a very lively and thrilling arrangement and is a good way to lift the spirits after a short return to the sadder music in La Amistad Remembered. Rounding off the CD is another rendition of Dry Your Tears, Afrika that doesn't include the solo female vocal at the start as the opening track does, but otherwise is the same piece. I think the inherent problem of the type of film is perhaps the biggest drawback to this score. Long dialogue sequences are tough to score as they can't be too aimless (which, thankfully, is generally avoided here), but they don't want to drown out what is probably a very fine performance from Anthony Hopkins or whoever. As this is John Williams, he manages to keep the ball rolling quite nicely and while some listeners may find it drags a little I find it a quite refreshing diversification for Williams from his more blockbusting style.
Amistad - 08/10 - Recensie van Mitchell Tijsen, ingevoerd op (Nederlands)
Veel mensen hebben kritiek op Amistad omdat de score niet verrassend genoeg zou zijn, het zou maar standaard Williams-muziek zijn, daar ben ik het absoluut niet mee eens. Amistad is opnieuw een heerlijke score afkomstig van John Williams. Hij brengt met deze score niet alleen vreugde maar ook een mooi emotioneel stuk die weer behoort tot zijn beste stukken!

Het beste stuk wat Williams voor Amistad heeft geschreven heet ‘Cinque’s Theme’, je hoort in dit thema ook het verdriet van de slavenarbeid. Het begon zo vrolijk maar de zielige toon zit zeker verwerkt in deze score. Cinque Theme begint heel rustig maar bouwt langzaam op naar een hoogtepunt. Het begin met slechts een harp voor de begeleiding en een fluit die de melodie fluit is een goede combinatie. De strijkers komen er langzaam bij en zorgen rond de 2 minuten echt voor kippenvel. Een mooi dramatisch hoogstandje (zo zal ik het maar noemen). Een mooie melodie die me af en toe wel doet denken aan Angela’s Ashes al kwam die soundtrack 2 jaar later pas...
De muziek blijft me niet echt allemaal bij, dat is zeker iets wat Williams anders wel heeft, het effect is inderdaad anders bij Amistad. Toch zitten er stukken tussen zoals het Afrikaanse lied en Cinque’s Theme die naar mijn mening weer 100% Williams zijn en dus goed. John Williams is een componist die mij bijna nooit teleurstelt en dat laat hij in Amistad ook weer keurig zien. De componist is weer in sommige stukken op z’n best, hoe doet die man dat toch steeds?
In de film viel de muziek me meteen op, de kunst is dan zeker om de muziek ook nog mooi en interessant genoeg te vinden naast die film. Ik stopte de score in mijn cd-speler en voila..de magie was er weer. Ik zat weer in die film en leefde dus weer intens mee met deze goede score.

Natuurlijk moet ik niet overdreven, Williams heeft beter werk (veel beter zelfs). Maar om nou te zeggen dat deze score slecht is...nee. De score heeft een eigen karakter, eigen thema’s die erg origineel zijn (vooral het Afrikaanse lied: Dry Your Tears Africa). Een originele score met een aantal uitschieters die ik al eerder noemde. Een 6 voor deze score vind ik echt te weinig, het is een score met een leuk Afrikaans tintje en met mooie composities die opnieuw voor kippenvel zorgen.
Ik zit te twijfelen tussen een 7 en een 8 maar ga toch voor de 8 vanwege de kracht van het lied en vanwege het oh zo mooie Cinque thema dat mij bij iedere luisterbeurt toch écht kippenvel geeft!!
Amistad - 06/10 - Recensie van Wim Minne, ingevoerd op (Nederlands)
Williams is een steengoede componist, dat valt niet te ontkennen. Hij geeft films altijd een meerwaarde. En de man bezorgde ons steengoede thema's als: Jaws, Star Wars, E.T., Harry Potter, Indiana Jones, etc...

Toch, zoals elke goede componist, zijn er mindere soundtracks. Amistad is er zo eentje. Spielberg wou na Schindler's List een nog grootser epos maken, over de trans - atlantische Slavenhandel. Niet te vergeten, dat is toch een grote zwarte vlek in de geschiedenis van de mensheid. Spielberg is daar maar half in geslaagd. Niettemin, aangrijpende momenten in de film.

Williams zorgde voor een Afrikaans dramatische stijl. Het siert de score wel, en er zitten ook wel dramatische tracks in, maar als je vergelijkt met het niveau van War Of The Worlds, of Munich of Schindler's List, is dit toch wel het kneusje van zijn omvangrijke oeuvre. Soms is het zelfs langdradig en saai.

Williams heeft veel betere werken.
Amistad - 06/10 - Recensie van Jonathan v E, ingevoerd op (Nederlands)
Zowel de film als de score zijn een van de minste van Spielberg-Williams. Maar toch heeft de soundtrack een aantal mooie nummers:
'Dry Your Tears, Afrika' is een van de weinige nummers van John Williams die een tekst (wel in het Afrikaans) bevat. Wat het betekendt maakt niks uit, want het klinkt vrolijk!
'Sierra Leone, 1839 and the Capture of Cinque' is een soort reizende muziek wat opbouwt naar een haast schreewend koor en muziek, daarna bouwt het zich weer af.
De rest van de muziek lijkt allemaal een beetje op elkaar, wat nieuwe hoogtepunten zitten er wel in, maar niet echt interessant. Dit is echt meer een underscore album dan een 'Theme+Action music' wat Williams natuurlijk de beste in is.
Amistad - 06/10 - Recensie van the lord africanus, ingevoerd op (Nederlands)
naar mijn mening een overgewaardeerde score, veel te veel kitsch en toont de inspiratieloosheid van williams. Williams you can do better than that.
Amistad - 09/10 - Recensie van Audrey De L, ingevoerd op (Frans)
Ce film est très bien car on ne se rend pas compte de l'importance de l'esclavage dans l'histoire du monde ...
Amistad - 08/10 - Recensie van BJ Borge Ayala, ingevoerd op (Spaans)
Preciosa combinación de voces y melodías
Recorded and mixed at Sony Pictures Scoring Stage, Culver City, CA.
Mastered at A&M Mastering Studios, Hollywood, CA.
The poem 'Dry Your Tears, Afrika' © 1967 Bernard Dadie, from the book 'West African Verse'.
Oscars: Best Original Score (Genomineerd)
De trailer van deze soundtrack bevat muziek uit:

Power of One, The (1992), Hans Zimmer (Film)
Courage Under Fire (1996), James Horner (Film)


Trailer:





Andere soundtrack releases van Amistad (1997):

Amistad (2020)
Amistad (2022)


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