Venise sous la neige


BOriginal 19/05/2017 Téléchargement
Film Sortie du film: 2016
 

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# Track Artiste/Compositeur Duration
1.Brechlavst ChouveniaStéphane Peyrot, Michael Geyre, Emeric Amanou Tolosano 
2.Swing for ElliottClément Garcin 
3.JazzEbar 
4.Les berges du canalClément Garcin 
5.Swing 5Clément Garcin 
6.Swing 3Clément Garcin 
7.Chiens loupsStéphane Peyrot 
8.Discussion parentsStéphane Peyrot 
9.Fais le testStéphane Peyrot 
10.EspionneStéphane Peyrot 
11.Venise terrasse 10Clément Garcin 
12.Romantique Chouvénia 
13.AmoureuxStéphane Peyrot 
14.Venise 1 
15.Venise terrasse 6Clément Garcin 
16.Venise terrasse 8Clément Garcin 
17.Danubian HoroMichael Geyre, Emeric Amanou Tolosano 
18.Venise terrasse 2Clément Garcin 
19.Patricia voitureMichael Geyre, Stéphane Peyrot 
20.ManoucheEmeric Amanou Tolosano 
21.Arrivée commissariatEmeric Amanou Tolosano 
22.Fin garçonMichael Geyre, Emeric Amanou Tolosano 
23.Danse théâtreStéphane Peyrot 
24.Un manouche à VeniseStéphane Peyrot, Michael Geyre, Emeric Amanou Tolosano 
Introduisez votre critique

 

Venise sous la Neige

Ajouté le Vendredi, 12 Mai, 2017  

Venise sous la Neige

Elliott Covrigaru est le réalisateur du film ainsi que le compositeur de la bande originale de Venise sous la Neige. Film sorti en salle le 17 mai 2017.

La musique originale composée par Elliott Covrigaru reprend certaines couleurs de l’Europe de l’Est notamment avec l’apport d’un accordéon et d’une guitare Folk, tout en gardant aussi les codes de la comédie classique avec un quatuor à cordes.

Après quinze ans de cours particuliers de piano, et 3 ans d’étude de philosophie à la Sorbonne, Elliott Covrigaru compose les musiques des films qu’il réalise : Police, ouvrez !, Le grand retournement et dernièrement Venise sous la neige.
Il devient élève du compositeur Jean Marie Sénia.
Il diversifie ses activités en composant notamment pour des clips promotionnels (2011), du théâtre (2010), du documentaire (2013), des jeux vidéo (2012) et c’est avec Le grand retournement (2013) de Gérard Mordillat qu’il s’initie à la composition de musique de long-métrage, puis pour un téléfilm (2014), Un si joli mensonge d’Alain Schwartzstein.
Il compose le générique et l’habillage sonore de l’émission Philosophie (réalisation Philippe Trufo), et participe également à la réalisation du programme.
Venise sous la neige, produit par Véra Belmont, est son premier long métrage en tant que réalisateur, scénariste et compositeur.
La musique de Venise sous la neige a demandé une attention particulière. En effet, étant moi même le réalisateur et le compositeur du film le risque était d’accumuler certains pléonasmes images/musiques, et de manquer l’occasion de prendre du recul sur le film.
Tout en souhaitant garder l’esprit et le thème musical, déjà composé par mes soins en amont et nécessaire pour le développement du film, je me suis entouré d’un arrangeur/orchestrateur, Stephan Peyrot, capable d’apporter une autre perspective sur le film. Nous avions déjà collaboré dans le passé, ce qui a facilité les échanges, et les méthodes d’organisation.
Le projet musical de « Venise sous la neige » est intimement lié au scénario.
Le thème principal du film est directement repris du « L’Hymne de la Chouvénie » joué au piano, et inventé par le personnage de Patricia. L’idée étant de créer une identité du film autour de cette musique. J’ai envisagé une multitude de variations, modifiant les couleurs, les instruments et les tempi de façon à garder la solidité du thème tout en transmettant différentes émotions.
La question s’est posée de la place de la musique dans un film inspiré d’une pièce de théâtre. Je me suis donc partiellement inspiré du « Prénom » d’Alexandre De la Patellière, ou du « Dîner de cons » de Francis Veber. Deux films ou l’action se déroule dans un seul décor, et ou l’essentiel de la comédie repose sur la force des dialogues.
Le rôle que j’ai donné à la musique n’est pas de souligner ou de renforcer l’humour de façon grossière ou caricaturale. Je ne voulais pas indiquer au spectateur, (comme le fait très bien la télévision) l’endroit ou il doit rire (à la manière d’un solo de batterie succédant à une blague), mais le laisser tout seul maître de ses émotions. J’ai donc décidé de ponctuer un récit, offrir un espace de respiration dans un film qui se déroule quasiment en décor unique. Si la musique trouve difficilement sa place au milieu de dialogues fournis, elle reste néanmoins essentielle dans la narration. En effet, les virgules musicales entre les scènes aident aux transitions et aux ellipses. De plus elle permet de sortir le film de sa dimension théâtrale projetant ainsi une vraie œuvre cinématographique.
Si la musique ne suit pas l’humour brut, sans gène, et sans retenu du couple des « Chouchoux », elle se jumèle avec le comportement de Patricia, à la fois pleine de second degré de mystère et forcément…d’humour.
Le thème principal du film est donc « L’hymne à la Chouvénie ». Cette musique à pour but à la fois de reprendre certaines couleurs de l’Europe de l’Est notamment avec l’apport d’un accordéon et d’une guitare Folk, et de garder aussi les codes de la comédie classique avec un quatuor à cordes. Ce mélange doit mettre en avant une touche de comédie (de temps en temps mystérieuse) mais aussi de « rester » dans le pays imaginé par Patricia. La musique plutôt que de suivre une folle trajectoire, reste sur son sujet en variant ses propres tonalités.
Comme en témoigne le morceau « Un manouche à Venise » l’idée est de passer par plusieurs émotions, de faire vivre au maximum la musique dans l’espace, parfois difficile, qui lui est réservé. De faire un « hymne à l’Europe de l’Est » plein de dérision, d’humour et de second degré. - Elliott Covrigaru -

Venise sous la neige est un film réalisé par Elliott Covrigaru avec Élodie Fontan, Arthur Jugnot.

Christophe, un dramaturge incompris, tente désespérément de financer sa nouvelle pièce que doit interpréter Patricia, sa compagne. Il cherche de l’aide auprès d’un ancien camarade qui invite le couple à passer un weekend à la campagne.
Mais Patricia, en froid avec Christophe, ne prononce pas un mot devant les futurs époux pour lesquels elle n’éprouve aucune sympathie. Son mutisme persuade ses hôtes qu’elle est en réalité étrangère. Trop contente d’embarrasser Christophe, Patricia décide de jouer le jeu et s’invente une langue et un pays, la Chouvénie. Le couple y croit dur comme fer, ce qui donne au quiproquo des proportions de plus en plus délirantes….


Plus d'infos sur: Urban Ditribution



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