Dune
(Digital)


WaterTower Music 17/09/2021 Download
Filme Lançamento do filme: 2021
 

Inscreva-se agora!

Mantenha-se mais informado e tenha acesso à informação de colecionadores!





 

# Rastrear   Duração
1.Dream of Arrakis3:08
2.Herald of the Change5:01
3.Bene Gesserit3:54
4.Gom Jabbar2:00
5.The One2:30
6.Leaving Caladan1:55
7.Arrakeen2:16
8.Ripples in the Sand5:14
9.Visions of Chani4:27
10.Night on Arrakis5:03
11.Armada5:09
12.Burning Palms4:04
13.Stranded0:58
14.Blood for Blood2:29
15.The Fall2:32
16.Holy War4:20
17.Sanctuary1:50
18.Premonition3:30
19.Ornithopter1:54
20.Sandstorm2:35
21.Stillsuits5:31
22.My Road Leads into the Desert3:52
 74:12
Envie sua opinião Ocultar críticas em outros idiomas

 

Dune - 05/10 - Revisão de David-Emmanuel Thomas, apresentado em (Francês)
S’il pouvait déjà se targuer d’avoir donné une couleur musicale à quelques personnages majeurs issus de la littérature populaire comme Sherlock Holmes, Hannibal Lecter, Robert Langdon ou Le Roi Arthur, Hans Zimmer réalise avec Dune un vieux rêve d’adolescent qui dépasse de loin ses ambitions les plus folles. Métaphore politique économique et écologique, l’œuvre éponyme de Frank Hebert – où le protagoniste, Paul Atréides, est appelé à mener une révolution en plein cœur d’une lutte intergalactique pour les richesses d’une ressource précieuse nommée l’Épice – ne pouvait qu’espérer un grand nom de la musique de film pour soutenir cette adaptation contemporaine menée de front par le cinéaste visionnaire Denis Villeneuve. Nul besoin de méditer sur l’approche artistique quand on a grandi avec ledit roman : Zimmer sait d’emblée que sa musique « devait provenir d’une autre planète », « d’un autre temps » et proposer des « sons jamais entendus auparavant » comme il l’affirme lui-même en interview. On a pourtant eu tort de penser que sa vision de l’univers d’Herbert serait aboutie…

Commençons plutôt par la plus franche réussite de sa partition : les chœurs. Symbole de la diversité ethnique au sein de l’Imperium (« Bene Gesserit », « House of Atreides »), ils entourent également la quête spirituelle du héros (« Ripples in the Sand », « I See You in My Dreams », « The Fall »), ses visions prophétiques (« Gom Jabbar », « Paul’s Dream », « Premonition ») et les vertus mystiques de l’Épice (« Ripples in the Sand », « My Road Leads Into Desert »). Il aura fallu des mois de travail intensif pour que la team de Remote Control – Steve Mazzaro, David Fleming, Andrew Kawczynski et Steven Doar – accouche d’une nouvelle idioglossie et enregistre des milliers de voix féminines, dont celles de Loire Cotler (X-Men : Dark Phoenix, Raya & Le Dernier Dragon) et Lisa Gerrard (Gladiator, Mission Impossible 2), à travers l’Europe et les États-Unis. Quel dommage que leur présence ne se limite qu’à quelques apparitions dans le score alors qu’ils ne cessent de se déchaîner dans The Dune Sketchbook, l’album des démos où détonne l’incroyable « Song of the Sisters », morceau mystique aux atours chamaniques saisissants, injustement absent au montage final.

Notons également la contiguïté folle des travaux choraux de Dune, X-Men : Dark Phoenix, The Amazing Spider-Man 2 et Anges & Démons : les chuchotis insidieux des Bene Gesserit, peuple féminin à l’influence politique terrifiante, ne vous évoquent-ils pas les murmures haineux de Pharrell Williams dans la tête d’Electro ou l’emprise du Phoenix sur Jean Grey ? (« Song of the Sisters », « Bene Gesserit »). A la chorale féminine s’oppose une chorale masculine lugubre célébrant aussi bien la suprématie que la belligérance des Harkonnen, bien disposés à reprendre possession d’Arrakis. « Dream of Arrakis », « Blood For Blood » et « Armada » dessinent ainsi les contours de cette tension politique extrême en s’appuyant sur des effets dissonants où rivalisent percussions hostiles, synthétiseurs sanguinaires et cornemuse conquérante, symbole de la Maison des Atréides.

Au cours de sa quête, Paul Atréides (incarné ici par Timothée Chalamet) est accompagné d’un riff de guitare électrique solitaire, sans réelle distinction majeure, doublé de synthétiseurs et de percussions tribales/rock (« Paul’s Dream », « Leaving Caladan », « My Road Leads Into The Desert »), plus tard repris par les chœurs dans l’espoir de lui donner une ampleur céleste et une dimension plus mystique (« Ripples in the Sand »), alors qu’il se laisse envoûter par les effets hallucinogènes de l’Épice. Nulle variation émotionnelle ne viendra cependant renforcer notre empathie pour ce héros prophétique, destiné à mener une révolution interstellaire, ni même enrichir sa relation parentale, pourtant bien explorée dans le film. Lorsque la décadence de la Maison des Atréides atteint son paroxysme, sa partition se voile de nappes atmosphériques amples typiquement « zimmeriennes ». Citons les contrebasses de « Holy War » (l’évasion du pilote Duncan), dont la gravité évoque Gladiator et Anges & Démons, ou bien l’alliance du violoncelle électrique de Tina Guo (Wonder Woman) aux percussions et synthétiseurs nerveux dans « Armada » et « The Fall » (l’attaque et la destruction du fief des Atréides sur Arrakis) ou encore « Ripples in the Sand », « Burning Palms » et « Premonition » (les visions prémonitoires de Paul). Autant de textures mainstream qui diffusent une atmosphère austère dans chaque scène de tension, sans jamais se démarquer les unes des autres, en dépit des possibilités offertes par l’histoire ou les images (« Ornithopter », « Sandstorm », « Night on Arrakis », « Arrakeen », « Drem of Arrakis »). Çà et là, quelques grésillements électroniques reproduisent la rugosité des grains de sable (« Sandstorm ») tandis que d’autres instruments tribaux, spécialement inventés pour l’occasion, reflètent la dangerosité patente de cet environnement aride (« Dream of Arrakis », « Arrakeen »). On y entend même les battements d’ailes des ornithoptères, véhicules aériens supervisant la récolte de l’Épice (« Ornithopter »), qui rappelleront à coup sûr l’empreinte du compositeur de Dunkerque.

Au même titre que la population indigène, les Fremen, la planète Arrakis revêt la couleur orientale du duduk, et autres instruments exotiques joués par Pedro Eustache (Kung-Fu Panda), qui contraste avec la culture et les paysages de Caladan, berceau des Atréides (« Herald of the Change », « Ripples in the Sand », « Paul’s Dream »). Zimmer semble tout à coup oublier que leur désert n’est pas terrestre… Pourquoi aller à l’encontre des fondements du score ? Et pourquoi diable s’être contenté de jouer le riff de Paul à défaut de lui proposer un thème propre ? Le manque d’inventivité consterne au fil de l’écoute ! Qui plus est, aucune musique épique ne propulse l’action – ni la bataille d’Arrakis ni les attaques des vers de sables – par quelques accents orchestraux dignes de ce nom, comme si le minimalisme conventionnel suffisait à amplifier la densité du récit ou transcender la photographie resplendissante de Greig Fraser. Les textures sonores se désincarnent, lancinent et se répètent, jusqu’à saturation. On a le sentiment que l’expérience viscérale proposée par Hans Zimmer se révèle peu fidèle à l’essence du film, là où le regretté Jóhann Jóhannsson savait convertir toute la beauté dramatique de Prisoners, Enemy, Sicario, et Premier Contact. A trop vouloir se concentrer sur l’esthétisme, Denis Villeneuve semble oublier que la musique a, elle aussi, besoin de s’exprimer.

Calqué sur le schéma musical de X-Men : Dark Phoenix, le score de Dune n’est donc pas aussi ambitieux qu’on le prétend. On peut, certes, lui reprocher une inspiration aussi désertique que les étendues de sables d’Arrakis – à l’exception bien sûr de sa chorale ethnique – mais on ne manquera pas de reconnaître son génie, notamment dans la maîtrise des chœurs, témoin d’une recherche artistique poussée, et dans ses sonorités immersives, malgré l’absence regrettable de certaines idées prometteuses expérimentées dans The Dune Sketchbook. En délaissant Christopher Nolan (Tenet) pour l’adaptation de son livre de chevet, on pensait que Hans Zimmer aurait su, une nouvelle fois, dépasser les limites de ses inspirations, plutôt que d’exploiter à outrance la formule usuelle – riff + synthé + percussions – qui commence sérieusement à s’essouffler. Forcément, la déception est grande… En somme, Dune synthétise tout ce que ses détracteurs reprochent à son auteur mais semble tout aussi bien polariser sa vaste communauté d’aficionados, de quoi relancer la vague de scepticisme qui règne autour de la sortie de Mourir Peut Attendre.

David-Emmanuel - Le BOvore
Dune - 07/10 - Revisão de Lammert de Wit, apresentado em (Holandês)
De Amerikaanse SF-film Dune is geregisseerd door Denis Villeneuve (Blade Runner 2049, Arrival, Sicario) en is een remake van de gelijknamige, maar geflopte film van David Lynch uit 1984. Beide films zijn feitelijk gebaseerd op het beroemde boek Duin van Frank Herbert. De film is eigenlijk het eerste deel van een tweeluik, maar de productie van dat tweede deel hangt af van het succes van de eerste en moest na de release van deze eerste film nog uitonderhandeld worden. Dit eerste deel is in ieder geval door de critici goed ontvangen en lijkt het ook in de bioscopen goed te gaan doen.
Het verhaal speelt zich af in een verre, onbenoemde toekomst. Leto (Oscar Isaac) is hertog van het geslacht of huis Atreides, die de macht hebben waar hun vijanden op azen. Die vijanden worden aangevoerd door het huis Harkonnen, waar Vladimir (Stellan Skargard) de leiding heeft. Wanneer Leto de leiding krijgt toebedeeld over de woestijnplaneet Arrakis, beseft hij dat dit mogelijk een val is van zijn vijanden, maar toch wil hij op die barre zandplaneet leiding geven aan het delven van 'spice', een van de kostbaarste grondstoffen van het universum. Dat is een gevaarlijke operatie vanwege de aanwezigheid van zandwormen, maar als er dan verraad in het spel is, moet zijn zoon Paul (Timothee Chalamet) met Lady Jessica (Rebecca Ferguson) naar de Fremen, een lokale stam, ver weg in de duinen van Arrakis...

De muziek bij deze film is van niemand minder dan Hans Zimmer, die graag met Villeneuve wilde samenwerken vanwege hun passie voor het boek van Herbert. Ook de goede verstandhouding bij hun vorige samenwerking voor Blade Runner 2049 hielp daaraan mee. Zimmer liet er zelfs de score voor Nolan's Tenet voor lopen.
Beide mannen wilden dat de muziek bij de film een soort 'verheven' werking zou hebben, immers religie speelt een belangrijke rol in de cultuur die de film laat zien. Daarom spelen koorklanken van met name vrouwenstemmen een belangrijke rol in de score. Maar verwacht van die stemmen geen hymnische melodieën, want die ontbreken bijna volledig. Wat ook meespeelt is dat Zimmer zijn muziek soms een wat Oosterse kleuring mee heeft gegeven, waarmee de muziek het woestijnkarakter van de film benadrukt. De vrouwenstemmen hebben daarbij een belangrijk aandeel, omdat ze soms enigszins klinken als Arabische koorklanken. Overigens zijn ook donkere mannenstemmen in de muziek van een aantal tracks te horen.

Zimmer heeft voor de muziek bij de film nieuwe instrumenten en klankkleuren gebruikt, die hij zelf heeft ontwikkeld. Zijn score is hoofdzakelijk elektronisch geproduceerd, maar hij heeft ook de nodige akoestische instrumenten toegepast. Het belangrijkste bestanddeel van de muziek is echter de underscore, de basisklanken waarop alle muziek rust. Deze basisklanken bestaan vooral uit een laag donkere, grommende geluiden, die in de bioscoop goed tot hun recht zullen komen, vooral wanneer die zaal een Dolby Atmos systeem heeft, waardoor je wordt ondergedompeld in die laag vibrerende tonen.
Maar los van de film geven die klanken de muziek toch een wel erg donkere en grimmige kleuring. Weliswaar heeft Zimmer hier bovenop de nodige extra instrumentaties gezet, maar een flink deel van de muziek bestaat hoofdzakelijk uit die lage grommende klanken, die beperkt melodieus zijn en vooral in mineur staan, waardoor die klanken een wat somber idee geven van de gebeurtenissen in de film, die ik overigens nog niet heb gezien.
De muziek die Zimmer heeft gecomponeerd mag dan volgens Villeneuve iets verhevens hebben, het is in ieder geval niet erg melodieus en heeft zeker geen hymnisch karakter. Zimmer heeft vooral met klanken, geluiden en effecten gewerkt, die een bepaalde sfeer moeten oproepen. En die sfeer is er zeker, maar het is geen aangename sfeer, daarvoor is de muziek te spannend of soms zelfs creepy. Het gebrek aan melodie speelt de muziek daarbij zeker parten, al zal het voor de film allicht perfect uitpakken. Maar om los van de film naar te luisteren is deze score geen aangename belevenis. De muziek ligt niet lastig in het gehoor, maar qua genietbaarheid houdt het niet over.

Er zijn wel een paar tracks die best aangenaam en net iets melodieuzer zijn, zoals de track 'Armada', die overigens een beetje doet denken aan Zimmers muziek uit Inception, terwijl halverwege doedelzakken lijken te zijn toegepast. Zo zijn er soms ook andere elementen die herkenbaar zijn, maar overwegend heeft Zimmer echt iets laten horen wat nieuw is. Die nieuwigheid zit hem dan vooral in de toegepaste klanken en geluiden. Ook de stemmen die Zimmer ingezet heeft werken mee aan die aparte sfeer in de muziek, niet alleen de koorklanken, ook de chants die af en toe voorbij komen.
Het album sluit af met de track 'My Road Leads to the Desert', wat eigenlijk nog een van de meest melodieuze tracks is. Hierin komen ook de vrouwelijke koorklanken weer terug, terwijl de grommende onderlaag steeds moduleert naar andere klankniveau's. De track loopt uit naar een best fraaie climax.

Kortom, de muziek bij deze nieuwe versie van Dune is van Hans Zimmer en dit album bevat de complete score van de muziek bij de film. Het eerder uitgebrachte album The Dune Sketchbook was een album die vooral muzikale ideeën voor de film uitwerkte, maar niet een echt score-album. Zimmer's muziek voor deze film heeft fraaie klanken, en vooral de vele koorklanken doen het goed om een lichte Oosterse woestijnsfeer neer te zetten. De muziek zelf bestaat echter hoofdzakelijk uit klanken en geluiden, die veelal nauwelijks melodieus zijn en hooguit wat meanderen op verschillende toonhoogtes. Zimmer heeft allerlei nieuwe instrumentaties opgezet, die een wat exotische, maar sombere sfeer neerzetten. Veel muziek bestaat uit nauwelijks meer dan een basisklank van grommende lage tonen. Daar bovenop heeft Zimmer dan z'n overige klanken, geluiden en effecten geplaatst. De muziek zal allicht perfect bij de film passen, maar het grote gebrek aan fraaie melodieën in geweldige arrangementen, waar Zimmer toch beroemd mee geworden is, doet behoorlijk afbreuk aan de genietbaarheid los van de film. Dat is jammer en brengt de waardering voor deze score op slechts 69 uit 100 punten.
Dune - 02/10 - Revisão de Thomas Jenkins, apresentado em (Inglês)
A dumb, boring, intolerable piece of junk that spits in the face of John Williams and others' work on similar space epics. Massively overrated. The only reason it isn't a one is because I liked the bagpipes.
Oscars: Best Original Score (Vencedora)

Outros lançamentos de Dune (2021):

Dune: Eclipse (2020)
Dune: Paul's Dream (2021)
Dune Sketchbook, The (2021)
Dune Sketchbook, The (2021)
Dune (2021)
Dune (2022)


Informe uma falha ou envie-nos informações adicionais!: Login

 



Mais