Spectre


Decca Records 13/11/2015 CD (0602547595096)
Film Uwolnienie filmu: 2015
 

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# Tor   Czas
1.Los Muertos Vivos Estan (featuring Tambuco)2:48
2.Vauxhall Bridge2:19
3.The Eternal City4:34
4.Donna Lucia2:03
5.A Place Without Mercy1:04
6.Backfire4:54
7.Crows Klinik1:41
8.The Pale King2:55
9.Madeleine2:58
10.Kite In A Hurricane2:09
11.Snow Plane5:24
12.L’Americain1:42
13.Secret Room5:22
14.Hinx1:21
15.Writing’s On The Wall (Instrumental)2:10
16.Silver Wraith2:15
17.A Reunion5:36
18.Day Of The Dead (featuring Tambuco)1:26
19.Tempus Fugit1:21
20.Safe House3:55
21.Blindfold1:28
22.Careless4:39
23.Detonation3:53
24.Westminster Bridge4:14
25.Out Of Bullets1:51
26.Spectre (End Title)5:40
 79:42
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Spectre - 07/10 - Przegląd wersji David-Emmanuel Thomas, zgłoszone w (Francuski)
AU SERVICE SECRET DE SAM MENDES (2)

Plus atmosphérique et minimaliste, la partition de Spectre pâtit, au même titre que le film, d’un rythme plus irrégulier que son prédécesseur, bien plus substantiel et innovant. Ici, Newman semble trouver plus difficilement les ressources pour se renouveler, malgré toute la bonne volonté et l’investissement dont il fait preuve, une fois encore. Si la continuité musicale est indispensable, on regrette que les séquences d’action de Spectre se cantonnent à des itérations excessives des motifs phares de Skyfall (« Bloody Shot » / « Grand Bazaar, Istanbul » dans « Backfire » et « Tempus Fugit », « The Moors » dans « Careless » et « Westminster Bridge », « Quartermaster » dans la séquence d’introduction) dont l’esthétique, restée intacte, suscite toujours le même plaisir d’écoute. Les quelques propositions détonantes ne manquent cependant pas de panache à l’image du spectaculaire « Backfire » (la course poursuite en voiture entre Bond et Hinx dans Rome), où percussions nerveuses, cuivres grondants et chœurs grandioses débouchent sur une glorieuse citation du « James Bond Theme », l’intrépide « Snow Plane » ou bien les envolées orchestrales héroïques de « Detonation » (Bond à la rescousse de Madeleine), le tout sans omettre d’escorter musicalement Bond aux quatre coins de la planète (les percussions mexicaines de « Los Muertos Vivos Estan » et « Day Of The Dead » pour Mexico, les voix éthérées de « The Eternal City » pour Rome, les envolées de cordes de « Crows Klinik » pour Sölden, les vents de « L’Américain » pour Tanger). De part et d’autre, des sonorités lancinantes infiltrent et gangrènent l’ensemble de sa partition par quelques tonalités crispantes et beats fantomatiques qui étendent la domination de Spectre, un mystérieux réseau tentaculaire dirigé par Blofeld (« The Pale King », « Kite In A Hurricane », « Silver Wraith », « A Reunion », « Spectre »). Hélas, ces ambiances électroniques, plus impersonnelles et conventionnelles, n’apportent guère d’ampleur à cette organisation terroriste ni de charisme au personnage mégalomaniaque incarné par Christopher Waltz, que l’on cherche pourtant à rendre imposant dans chacune de ses apparitions.

Rien n’évoque non plus le lien « fraternel » unissant Bond à Blofeld ni même la résurgence des malheurs infligés par ses adversaires les plus tenaces – Le Chiffre, Mr White, Greene et Silva – durant ses précédentes missions, au cours de cette séquence révélant leur affiliation à Spectre (l’insipide « A Reunion »). Bond a beau ne pas être un sentimental, les traumatismes de son passé continuent de le hanter, il reste habité par le chagrin et la souffrance, autant d’émotions si peu véhiculées par la musique de Newman dont l’implication prenait encore plus de sens ici. Décidément, Mendes ne semble toujours pas assumer pleinement la dimension humaine qu’il entend lui donner… Mais si l’on se penche sur les mélodies des James Bond Girls, on y trouve une sorte de miroir émotionnel, une preuve de son empathie, de sa dévotion et même de son désir charnel impulsif vis-à-vis de la gent féminine (si vous en doutiez encore) – exactement comme chez Arnold. « Donna Lucia » (Monica Bellucci) est prisonnière de Spectre, il n’est donc pas étonnant que ses courbes élégantes de violons rappellent « Severine » dans Skyfall et reflètent la dimension tragique de son personnage que Bond sauve d’une mort certaine. A l’inverse, Madeleine Swann (Léa Seydoux), fille de M. White, hérite d’accents plus mélancoliques et lyriques qui dévoilent une part de son intimité mais qui laissent surtout entrevoir cette relation amoureuse naissante avec son protecteur au travers d’ostinatos inspirés (« Madeleine », « Spectre ») et d’un piano élégiaque (« Secret Room », « Safe House », « Out of Bullets »). Si l’expérience « bondienne » fut particulièrement profitable à Thomas Newman en termes de notoriété, de maîtrise des rythmes et de rétribution, la singularité du vocabulaire musical mis en place aura très certainement contribué à apporter un nouveau souffle aux aventures du commander Bond. Peut-être pas aussi épique que David Arnold, mais tout aussi prégnant. Il aurait été dommage de ne pas lui laisser sa chance…

David-Emmanuel - Le BOvore
A cryptic message from the past sends James Bond (Daniel Craig) on a rogue mission to Mexico City and eventually Rome, where he meets Lucia Sciarra (Monica Bellucci), the beautiful and forbidden widow of an infamous criminal. Bond infiltrates a secret meeting and uncovers the existence of the sinister organisation known as SPECTRE.

Meanwhile back in London, Max Denbigh (Andrew Scott), the new head of the Centre for National Security, questions Bond's actions and challenges the relevance of MI6, led by M (Ralph Fiennes). Bond covertly enlists Moneypenny (Naomie Harris) and Q (Ben Whishaw) to help him seek out Madeleine Swann (Léa Seydoux), the daughter of his old nemesis Mr White (Jesper Christensen), who may hold the clue to untangling the web of SPECTRE. As the daughter of an assassin, she understands Bond in a way most others cannot.

As Bond ventures towards the heart of SPECTRE, he learns of a chilling connection between himself and the enemy he seeks, played by Christoph Waltz.

Sam Mendes returns to direct SPECTRE, with Daniel Craig reprising his role as 007 for the fourth time. SPECTRE is produced by Michael G. Wilson and Barbara Broccoli. The screenplay is by John Logan and Neal Purvis & Robert Wade and Jez Butterworth, with a story by John Logan and Neal Purvis & Robert Wade.

SPECTRE is set for release in the US on November 6, 2015.

Multi-platinum selling artist Sam Smith has co-written the title song, 'Writing's On The Wall,' with fellow GRAMMY® Award winner Jimmy Napes. It is the first James Bond theme song recorded by a British male solo artist since 1965. Smith's debut album In The Lonely Hour launched at No. 1 in the UK and bowed in at No. 2 in the US, and has since earned five No.1 UK singles, four GRAMMY® Awards, three Brit Awards, six MOBO Awards, Q and AMA Awards.

Commenting on the announcement, Michael G. Wilson and Barbara Broccoli, the producers of SPECTRE, said, 'Sam and Jimmy have written the most inspirational song for Spectre and with Sam's extraordinary vocal performance, 'Writing's On The Wall' will surely be considered one of the greatest Bond songs of all time.'

Smith said: 'This is one of the highlights of my career. I am honoured to finally announce that I will be singing the next Bond theme song. I am so excited to be a part of this iconic British legacy and join an incredible line up of some of my biggest musical inspirations. I hope you all enjoy the song as much as I enjoyed making it.'

The 23 previous James Bond theme songs make up some of the most memorable movie music of all time. The previous Bond theme song, 'Skyfall,' was performed by Adele, and was honored with the Academy Award® and Golden Globe Award for Best Original Song, the Brit Award for British Single of the Year, and the Grammy Award for Best Song Written for Visual Media.


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