Star Trek Into Darkness
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| # | トラック | 期間 | ||
|---|---|---|---|---|
| 1. | Logos/Pranking The Natives | 3:01 | ||
| 2. | Spock Drops, Kirk Jumps | 1:43 | ||
| 3. | Sub Prime Directive | 2:23 | ||
| 4. | London Calling | 2:09 | ||
| 5. | Meld-merized | 2:40 | ||
| 6. | The Kronos Wartet | 5:25 | ||
| 7. | Brigadoom | 3:41 | ||
| 8. | Ship To Ship | 2:50 | ||
| 9. | Earthbound And Down | 2:37 | ||
| 10. | Warp Core Values | 2:56 | ||
| 11. | Buying The Space Farm | 3:17 | ||
| 12. | The San Fran Hustle | 5:00 | ||
| 13. | Kirk Enterprises | 3:00 | ||
| 14. | Star Trek Main Theme | 3:25 | ||
| 44:07 |
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Décidément, le réalisateur J. J. Abrams a le vent en poupe. Il est le réalisateur du futur Star Wars Episode VII et compte déjà à son actif deux films d'une autre célèbre saga de science-fiction : le reboot de Star Trek sorti en 2009 et sa suite sortie en 2013, Star Trek Into Darkness.
Le but de la présente chronique n'est pas de s'attarder sur ces deux métrages. Il est cependant opportun de signaler qu'ils contiennent leur lot d'action, d'humour, d'émotion et d'effets spéciaux, et qu'ils constituent d'excellents divertissements, même si le débat fait rage parmi les trekkies (les fans de la saga) quant à savoir s'ils respectent l'esprit instauré par les précédentes versions.
Quoi qu'il en soit, Star Trek Into Darkness n'est pas de ces films qui passent inaperçu, ne serait-ce qu'avec la présence, à son générique, de l'acteur Benedict Cumberbatch, révélé par la série Sherlock et voix originale du dragon Smaug dans la saga du Hobbit de Peter Jackson. Respectant un schéma narratif très proche du film de 2009, ce second épisode lui apparaît de beaucoup supérieur à de nombreux égards, que cela soit les relations entre les différents personnages (la force de la saga Star Trek), le casting (Benedict Cumberbatch n'est que la cerise sur un succulent gâteau), la réalisation (et l'utilisation controversée des lens flare) et, ce qui nous intéresse le plus ici, la musique de Michael Giacchino.
Michael Giacchino est un compositeur à suivre depuis plus qu'une dizaine d'années maintenant. Après avoir fait ses armes sur des jeux vidéos (Medal Of Honor) et des séries TV (Alias, Lost), il s'attaque au cinéma avec notamment d'excellents Pixar (Les Indestructibles et Ratatouille en tête), et son travail sur le film Star Trek de 2009 n'a pu qu'être salué, entre l'instauration d'un nouveau thème pour l'équipe de l'USS Enterprise et la fameuse reprise du générique de la série originale d'Alexander Courage en tant que générique de fin.
Dans Star Trek Into Darkness, Michael Giacchino va plus loin que son déjà très bon travail pour le précédent opus. Si on peut regretter l'absence, sur l'album, du générique de fin et sa fameuse reprise des principaux thèmes, les autres pistes ne sont pas en reste, que cela soit de l'action endiablée pour la séquence d'introduction du métrage (les trois premières pistes du CD avec une reprise très glorieuse du thème principal dans la piste 'Sub Prime Directive' à 1:33) ou des séquences d'émotion pure (les pistes 'London Calling' et 'Buying The Space Farm' sont particulièrement émouvantes avec une utilisation très sensible et très judicieuse du piano).
Michael Giacchino revient aussi sur d'autres thèmes dont celui de Spock qui bénéficie d'une interprétation particulièrement guerrière pour la confrontation avec le méchant du film qui a droit également à son propre leitmotiv (pleinement exposé à 3:20). L'écoute de 'San Fran Hustle' est de loin le morceau le plus musclé de toute la partition (à base de percussions) pour une scène qui ne l'est pas moins. Notons également la puissance du début de 'Kronos Wartet' (la première minute et demie) qui accompagne une poursuite en vaisseau qui fait dire que J. J. Abrams est tout indiqué pour être le réalisateur du prochain Star Wars.
Si on peut reprocher à Michael Giacchino d'avoir un style assez épuré, il n'en demeure pas moins d'une grande efficacité car l'écriture est de qualité et accompagne merveilleusement les images, en témoigne la piste 'Ship To Ship' où le danger accompagne chaque note, ou encore l'acte de bravoure de Kirk qui justifie une reprise du thème principal à grand renfort de chœurs majestueux ('Warp Core Values' à partir de 2:10).
Signalons qu'à l'écran, et contrairement à ce qui se fait dans beaucoup de grosses productions actuelles, la musique n'est pas noyée sous un déluge d'effets sonores et a véritablement une place de choix dans la bande-son. Il faut dire aussi que Michael Giacchino et J. J. Abrams n'en sont pas à leur première collaboration et qu'ils constituent un jeune couple réalisateur/compositeur très prometteur, comme ont pu l'être avant eux Steven Spielberg et John Williams.
Enfin, le CD bénéficie d'un son très propre et très puissant et si, répétons-le, le générique de fin manque cruellement (à quand une édition Deluxe dans la lignée de celle qui a vu le jour pour la B.O. du premier épisode ?), la musique de Star Trek Into Darkness confirme tout le talent et tout le bien que l'on peut penser de Michael Giacchino. A n'en pas douter l'une des meilleures musiques de films de l'année 2013, ainsi qu'une charmante alternative à la prédominance du style 'Hans Zimmer et consorts'.
'data':'http://www.youtube.com/v/vnTAOrvmw9s','quality':'high','src':'http://www.youtube.com/v/vnTAOrvmw9s'
NB : une piste intitulée 'Ode To Harrison' avait circulé avant la sortie de l'album et ne figure pas dans cette édition. Elle permettait surtout d'entendre, de manière plus développée, le thème de John Harrison, à mi-chemin entre l'émotion glacée et la méchanceté inquiétante. Une belle manière d'illustrer musicalement ce personnage puissant et calculateur ainsi que la preuve que la B.O. de Star Trek Into Darkness n'a pas encore fini de faire parler d'elle jusqu'à la sortie de l'espérée Deluxe Edition !
Edit : Une Deluxe Edition dont le tirage est limité à 6 000 exemplaires a finalement vu le jour le 28 juillet 2014 chez l'éditeur Varèse Sarabande.
Le but de la présente chronique n'est pas de s'attarder sur ces deux métrages. Il est cependant opportun de signaler qu'ils contiennent leur lot d'action, d'humour, d'émotion et d'effets spéciaux, et qu'ils constituent d'excellents divertissements, même si le débat fait rage parmi les trekkies (les fans de la saga) quant à savoir s'ils respectent l'esprit instauré par les précédentes versions.
Quoi qu'il en soit, Star Trek Into Darkness n'est pas de ces films qui passent inaperçu, ne serait-ce qu'avec la présence, à son générique, de l'acteur Benedict Cumberbatch, révélé par la série Sherlock et voix originale du dragon Smaug dans la saga du Hobbit de Peter Jackson. Respectant un schéma narratif très proche du film de 2009, ce second épisode lui apparaît de beaucoup supérieur à de nombreux égards, que cela soit les relations entre les différents personnages (la force de la saga Star Trek), le casting (Benedict Cumberbatch n'est que la cerise sur un succulent gâteau), la réalisation (et l'utilisation controversée des lens flare) et, ce qui nous intéresse le plus ici, la musique de Michael Giacchino.
Michael Giacchino est un compositeur à suivre depuis plus qu'une dizaine d'années maintenant. Après avoir fait ses armes sur des jeux vidéos (Medal Of Honor) et des séries TV (Alias, Lost), il s'attaque au cinéma avec notamment d'excellents Pixar (Les Indestructibles et Ratatouille en tête), et son travail sur le film Star Trek de 2009 n'a pu qu'être salué, entre l'instauration d'un nouveau thème pour l'équipe de l'USS Enterprise et la fameuse reprise du générique de la série originale d'Alexander Courage en tant que générique de fin.
Dans Star Trek Into Darkness, Michael Giacchino va plus loin que son déjà très bon travail pour le précédent opus. Si on peut regretter l'absence, sur l'album, du générique de fin et sa fameuse reprise des principaux thèmes, les autres pistes ne sont pas en reste, que cela soit de l'action endiablée pour la séquence d'introduction du métrage (les trois premières pistes du CD avec une reprise très glorieuse du thème principal dans la piste 'Sub Prime Directive' à 1:33) ou des séquences d'émotion pure (les pistes 'London Calling' et 'Buying The Space Farm' sont particulièrement émouvantes avec une utilisation très sensible et très judicieuse du piano).
Michael Giacchino revient aussi sur d'autres thèmes dont celui de Spock qui bénéficie d'une interprétation particulièrement guerrière pour la confrontation avec le méchant du film qui a droit également à son propre leitmotiv (pleinement exposé à 3:20). L'écoute de 'San Fran Hustle' est de loin le morceau le plus musclé de toute la partition (à base de percussions) pour une scène qui ne l'est pas moins. Notons également la puissance du début de 'Kronos Wartet' (la première minute et demie) qui accompagne une poursuite en vaisseau qui fait dire que J. J. Abrams est tout indiqué pour être le réalisateur du prochain Star Wars.
Si on peut reprocher à Michael Giacchino d'avoir un style assez épuré, il n'en demeure pas moins d'une grande efficacité car l'écriture est de qualité et accompagne merveilleusement les images, en témoigne la piste 'Ship To Ship' où le danger accompagne chaque note, ou encore l'acte de bravoure de Kirk qui justifie une reprise du thème principal à grand renfort de chœurs majestueux ('Warp Core Values' à partir de 2:10).
Signalons qu'à l'écran, et contrairement à ce qui se fait dans beaucoup de grosses productions actuelles, la musique n'est pas noyée sous un déluge d'effets sonores et a véritablement une place de choix dans la bande-son. Il faut dire aussi que Michael Giacchino et J. J. Abrams n'en sont pas à leur première collaboration et qu'ils constituent un jeune couple réalisateur/compositeur très prometteur, comme ont pu l'être avant eux Steven Spielberg et John Williams.
Enfin, le CD bénéficie d'un son très propre et très puissant et si, répétons-le, le générique de fin manque cruellement (à quand une édition Deluxe dans la lignée de celle qui a vu le jour pour la B.O. du premier épisode ?), la musique de Star Trek Into Darkness confirme tout le talent et tout le bien que l'on peut penser de Michael Giacchino. A n'en pas douter l'une des meilleures musiques de films de l'année 2013, ainsi qu'une charmante alternative à la prédominance du style 'Hans Zimmer et consorts'.
'data':'http://www.youtube.com/v/vnTAOrvmw9s','quality':'high','src':'http://www.youtube.com/v/vnTAOrvmw9s'
NB : une piste intitulée 'Ode To Harrison' avait circulé avant la sortie de l'album et ne figure pas dans cette édition. Elle permettait surtout d'entendre, de manière plus développée, le thème de John Harrison, à mi-chemin entre l'émotion glacée et la méchanceté inquiétante. Une belle manière d'illustrer musicalement ce personnage puissant et calculateur ainsi que la preuve que la B.O. de Star Trek Into Darkness n'a pas encore fini de faire parler d'elle jusqu'à la sortie de l'espérée Deluxe Edition !
Edit : Une Deluxe Edition dont le tirage est limité à 6 000 exemplaires a finalement vu le jour le 28 juillet 2014 chez l'éditeur Varèse Sarabande.
De franchise van Star Trek draait, sinds regisseur en producent J.J. Abrams zich in het productieproces mengde, overuren. De versufte series en films, met een cast die voor het overgrote deel in een rollator de set op moest komen, kreeg een nieuwe boost.
Nu is er de tweede prequel, met als titel Star Trek Into Darkness. De complete cast, inclusief Simon Pegg, is terug.
Genialiteit. Daar ben je als kunstenaar mee geboren of niet. Michael Giacchino is zo'n artiest en componist die 'spot-on' als geen ander weet hoe je een film van score voorziet. En daarbij muziek van voorgangers respecteert en jezelf meerdere malen overtreft. Maar nu lijkt de man toch op een belangrijk moment een slippertje te maken.
Deze score gaat vrijwel direct het verkeerde pad op. Veelal vermaakt Giacchino vooral zichzelf met nieuwe mixes van eerdere geschreven thema's van de vorige score. Of komt op de proppen met nieuwe (under)score, waarbij strijkers en een groot koor een grote rol spelen. Toch pakken de eerste paar tracks je niet. Ze zijn wat onsamenhangend en een rommeltje hier en daar. Aan elkaar geplakte cues vormen niet echt een geheel en we betrappen Giacchino zelfs op 'Mickey-Mousing'. Ook mist de grandeur en grootsheid licht en is het geluid vreemd gemixt, waardoor het soms een huiskamer sound krijgt. Blikkerig geluid zonder die klassiekere ziel die Giacchino's vorige Star Trek avontuur wel had.
Pas vanaf de zesde track begint het een beetje interessant te worden. The Kronos Wartet is dan ook gelijk de beste track van het album. Een geweldige actierijke track, waarin het koor een gevechtslied uitzingt. De percussie en vooral de blazers zijn magnifiek. De elektrische gitaar geeft een extra dimensie en iets super cools. Toch mondt de track uit in underscore, iets wat we eigenlijk niet gewoon zijn van Michael Giacchino. En wederom weer een ietwat vreemde manier om de laatste cue te starten. Het doet allemaal erg rommelig aan en gaat ten kosten van het luisterplezier.
In tracks als Brigadoom verlies je snel de aandacht. Snerpende synthesizers en strijkarrangementen die rechtstreeks uit Lost lijken te komen zijn nou niet echt bijzonder te noemen.
De tracks die volgen zijn, hoe spijtig ook, niet memorabel. Alleen Buying the Space Farm en Kirk Enterprises schieten eruit. Dit zijn beladen tracks zoals we die graag horen van Giacchino. De originaliteit echter is ver te zoeken. Het is vooral recyclen van eerder gehoorde thema's. Pas wanneer het oude bekende thema van Alexander Courage inzet, met de toevoeging van Giaccino uit 2010 grijpt de score je bij de keel. Maar tegen die tijd ben je bij de laatste track en loopt de CD al op zijn einde.
De grootsheid, originaliteit en grandeur van Star Trek uit 2010 weet Michael Giacchino met deze nieuwe score niet door te zetten. Dat doet hij slechts met een enkele track, The Kronon Wartet. Tevens de beste van het album. Voor de rest is het een opeenstapeling van eerdere trucjes. Zoals al eerder gezegd, wat vooral storend kan werken is de manier waarop cues aan elkaar zijn gemixt in de studio. Dit behoor je als luisteraar eigenlijk NIET in de gaten te hebben. Waarschijnlijk heeft de vertraging van de release hier mee te maken en was deze score een spoed- of haastklus. Tot slot lijkt het, op het eerste oor, kleinere orkest vaak in een huiskamer te spelen en klinkt het geluid niet zo mooi als Star Trek. Helemaal als je de CD op een aardige 5.1 set aanzet (zoals ondergetekende) en alsnog bepaalde echo's en galmen waarneemt die in studio-opnames nauwelijks zouden moeten voorkomen. Giacchino scoort in deze enkel punten....omdat hij Giacchino is. En dan zwijgen we verder over het wanstaltige techno-pop-nummer van Conway die men uit pure wanhoop ook op de CD heeft gezet. Eeuwig zonde!
Nu is er de tweede prequel, met als titel Star Trek Into Darkness. De complete cast, inclusief Simon Pegg, is terug.
Genialiteit. Daar ben je als kunstenaar mee geboren of niet. Michael Giacchino is zo'n artiest en componist die 'spot-on' als geen ander weet hoe je een film van score voorziet. En daarbij muziek van voorgangers respecteert en jezelf meerdere malen overtreft. Maar nu lijkt de man toch op een belangrijk moment een slippertje te maken.
Deze score gaat vrijwel direct het verkeerde pad op. Veelal vermaakt Giacchino vooral zichzelf met nieuwe mixes van eerdere geschreven thema's van de vorige score. Of komt op de proppen met nieuwe (under)score, waarbij strijkers en een groot koor een grote rol spelen. Toch pakken de eerste paar tracks je niet. Ze zijn wat onsamenhangend en een rommeltje hier en daar. Aan elkaar geplakte cues vormen niet echt een geheel en we betrappen Giacchino zelfs op 'Mickey-Mousing'. Ook mist de grandeur en grootsheid licht en is het geluid vreemd gemixt, waardoor het soms een huiskamer sound krijgt. Blikkerig geluid zonder die klassiekere ziel die Giacchino's vorige Star Trek avontuur wel had.
Pas vanaf de zesde track begint het een beetje interessant te worden. The Kronos Wartet is dan ook gelijk de beste track van het album. Een geweldige actierijke track, waarin het koor een gevechtslied uitzingt. De percussie en vooral de blazers zijn magnifiek. De elektrische gitaar geeft een extra dimensie en iets super cools. Toch mondt de track uit in underscore, iets wat we eigenlijk niet gewoon zijn van Michael Giacchino. En wederom weer een ietwat vreemde manier om de laatste cue te starten. Het doet allemaal erg rommelig aan en gaat ten kosten van het luisterplezier.
In tracks als Brigadoom verlies je snel de aandacht. Snerpende synthesizers en strijkarrangementen die rechtstreeks uit Lost lijken te komen zijn nou niet echt bijzonder te noemen.
De tracks die volgen zijn, hoe spijtig ook, niet memorabel. Alleen Buying the Space Farm en Kirk Enterprises schieten eruit. Dit zijn beladen tracks zoals we die graag horen van Giacchino. De originaliteit echter is ver te zoeken. Het is vooral recyclen van eerder gehoorde thema's. Pas wanneer het oude bekende thema van Alexander Courage inzet, met de toevoeging van Giaccino uit 2010 grijpt de score je bij de keel. Maar tegen die tijd ben je bij de laatste track en loopt de CD al op zijn einde.
De grootsheid, originaliteit en grandeur van Star Trek uit 2010 weet Michael Giacchino met deze nieuwe score niet door te zetten. Dat doet hij slechts met een enkele track, The Kronon Wartet. Tevens de beste van het album. Voor de rest is het een opeenstapeling van eerdere trucjes. Zoals al eerder gezegd, wat vooral storend kan werken is de manier waarop cues aan elkaar zijn gemixt in de studio. Dit behoor je als luisteraar eigenlijk NIET in de gaten te hebben. Waarschijnlijk heeft de vertraging van de release hier mee te maken en was deze score een spoed- of haastklus. Tot slot lijkt het, op het eerste oor, kleinere orkest vaak in een huiskamer te spelen en klinkt het geluid niet zo mooi als Star Trek. Helemaal als je de CD op een aardige 5.1 set aanzet (zoals ondergetekende) en alsnog bepaalde echo's en galmen waarneemt die in studio-opnames nauwelijks zouden moeten voorkomen. Giacchino scoort in deze enkel punten....omdat hij Giacchino is. En dan zwijgen we verder over het wanstaltige techno-pop-nummer van Conway die men uit pure wanhoop ook op de CD heeft gezet. Eeuwig zonde!
This summer, pioneering director J.J. Abrams will deliver an explosive action thriller that takes Star Trek Into Darkness. When the crew of the Enterprise is called back home, they find an unstoppable force of terror from within their own organization has detonated the fleet and everything it stands for, leaving our world in a state of crisis. With a personal score to settle, Captain Kirk leads a manhunt to a war-zone world to capture a one man weapon of mass destruction. As our heroes are propelled into an epic chess game of life and death, love will be challenged, friendships will be torn apart, and sacrifices must be made for the only family Kirk has left: his crew.
Composer Michael Giacchino — an Academy Award winner for his score for Up — reunites with director J.J. Abrams to steer the Enterprise through its darkest territory yet.
Composer Michael Giacchino — an Academy Award winner for his score for Up — reunites with director J.J. Abrams to steer the Enterprise through its darkest territory yet.
コレクションからのサウンドトラック: Star Trek
