The Stone Killer
(L'Assassino di Pietra)
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| # | Track | Duration | |
|---|---|---|---|
| 1. | Main title | 3:20 | |
| 2. | Under surveillance | 2:02 | |
| 3. | The plot | 3:14 | |
| 4. | On the trail | 3:00 | |
| 5. | The graveyard | 2:34 | |
| 6. | In the shadows | 3:33 | |
| 7. | Too late | 2:10 | |
| 8. | The old precinct | 1:25 | |
| 9. | Down downtown | 1:42 | |
| 10. | On the move | 1:55 | |
| 11. | Down uptown | 3:50 | |
| 12. | From Viet-Nam to New York | 2:00 | |
| 13. | The chase | 2:43 | |
| 14. | Assassination | 3:05 | |
| 15. | Final capture | 2:05 | |
| 38:37 |
Introduisez votre critique
Se situant au milieu d'une série de films policiers en trois parties (1972, 1973, 1974), The Stone Killer (fr : Le Cercle noir) a été réalisé par Michael Winner (1). L’histoire du film se passe à Los Angeles et se concentre sur Lou Torrey (Charles Bronson), un détective aux manières quelque peu expéditives et contestées par sa hiérarchie, qui cherche à faire la lumière sur les meurtres commis par la mafia sicilienne.
The Stone Killer c’est également une musique signée Roy Budd. Pianiste de jazz autodidacte, le compositeur anglais insérait, dès que le contexte du film s’y prêtait, des partitions de jazz. Aidé d’un Fender Rhodes (ce piano faisait fureur à l’époque de la sortie du film). On retrouve par exemple l’emploi de ce instrument dans la séquence ‘Main Title’ (A1 – 1er disque), thème principal qui fut repris dix ans plus tard, par Christian Dorisse pour le film français Le Battant.
Budd a également inséré quelques notes plus élégiaques et romantiques, tels que pour les séquences ‘In the Shadows’ (A6 – 1er disque) et ‘The Graveyard’ (A5 – 1er disque), en utilisant des flûtes, des cors et des percussions exotiques ainsi que des cordes de chambre. Et oui ! Même ici, le sentiment d’une présence de jazz est omniprésents.
Roy Budd aimait également les tablas (petit tambour originaire de l’inde) ainsi que les synthés ringards de l'époque, qu'il utilisait à bon escient.
Au final, la bande originale contient tout ce que l'on peut attendre d'une musique de film d'action des années 1970. L’édition originale est aussi l'un des Saint-Graal en haut de la liste des collectionneurs, puisqu’elle a été initialement édité à quelques exemplaires, sous la forme d'un LP complet et d’un single, uniquement en Italie, par le label Fonit. Le Japon a emboîté le pas, mais malheureusement sous forme d’une compilation (2). Depuis lors et pour la plus grande joie des fans de Roy Budd, The Stone Killer a été réédité, notamment sous la forme d’un double LP (180 gr), en 2021 par le label Sud-Coréen Beatball Records.
On peut réellement affirmer que The Stone Killer est l’une de ses œuvres la plus ouvertement funky du maestro Budd. Elle peut sembler ringard, vu le contexte du film qui se déroule durant les années 1970, mais elle vaut la peine de l’écouter et pourquoi pas de l’acquérir ?
(1) C'est le 3e film que Michael Winner et Charles Bronson tournent ensemble, juste avant de triompher avec Death Wish (fr : Un justicier dans la ville) l'année suivante.
(2) )Avec la composition de Gianni Ferrio pour Big Guns (fr : Les Grands fusils).
FilmClassic Soundtrack
The Stone Killer c’est également une musique signée Roy Budd. Pianiste de jazz autodidacte, le compositeur anglais insérait, dès que le contexte du film s’y prêtait, des partitions de jazz. Aidé d’un Fender Rhodes (ce piano faisait fureur à l’époque de la sortie du film). On retrouve par exemple l’emploi de ce instrument dans la séquence ‘Main Title’ (A1 – 1er disque), thème principal qui fut repris dix ans plus tard, par Christian Dorisse pour le film français Le Battant.
Budd a également inséré quelques notes plus élégiaques et romantiques, tels que pour les séquences ‘In the Shadows’ (A6 – 1er disque) et ‘The Graveyard’ (A5 – 1er disque), en utilisant des flûtes, des cors et des percussions exotiques ainsi que des cordes de chambre. Et oui ! Même ici, le sentiment d’une présence de jazz est omniprésents.
Roy Budd aimait également les tablas (petit tambour originaire de l’inde) ainsi que les synthés ringards de l'époque, qu'il utilisait à bon escient.
Au final, la bande originale contient tout ce que l'on peut attendre d'une musique de film d'action des années 1970. L’édition originale est aussi l'un des Saint-Graal en haut de la liste des collectionneurs, puisqu’elle a été initialement édité à quelques exemplaires, sous la forme d'un LP complet et d’un single, uniquement en Italie, par le label Fonit. Le Japon a emboîté le pas, mais malheureusement sous forme d’une compilation (2). Depuis lors et pour la plus grande joie des fans de Roy Budd, The Stone Killer a été réédité, notamment sous la forme d’un double LP (180 gr), en 2021 par le label Sud-Coréen Beatball Records.
On peut réellement affirmer que The Stone Killer est l’une de ses œuvres la plus ouvertement funky du maestro Budd. Elle peut sembler ringard, vu le contexte du film qui se déroule durant les années 1970, mais elle vaut la peine de l’écouter et pourquoi pas de l’acquérir ?
(1) C'est le 3e film que Michael Winner et Charles Bronson tournent ensemble, juste avant de triompher avec Death Wish (fr : Un justicier dans la ville) l'année suivante.
(2) )Avec la composition de Gianni Ferrio pour Big Guns (fr : Les Grands fusils).
FilmClassic Soundtrack
Autres sorties de musique de The Stone Killer (1973):
