Red Sparrow


Sony Classical 02/03/2018 Descarga
Sony Classical 23/03/2018 CD (0190758420929)
Película Estreno de película: 2018
 

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# Pista   Duración
1.Overture11:34
2.The Steam Room2:19
3.One Night Is All I Ask1:30
4.Take Off Your Dress6:20
5.Arriving at Sparrow School2:51
6.Training1:43
7.Anya, Come Here2:45
8.When Did You First Notice the Tail1:04
9.There’s a Car Waiting To Take You To Moscow1:50
10.Follow the Tail Wherever It Leads You2:30
11.Blonde Suits You5:00
12.Searching Marta’s Room2:23
13.Ticket to Vienna1:45
14.Telephone Code1:10
15.Searching Nate’s Apartment1:04
16.Can I Trust You?3:06
17.Switching Disks6:00
18.So What Next?3:45
19.Didn't I Do Well?8:48
20.End Titles9:30
 76:57
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Red Sparrow - 09/10 - Crítica de David-Emmanuel Thomas, Publicado en (Francés)
LE BALLET SCORE DE JAMES NEWTON HOWARD

Sur ces précédentes associations avec le réalisateur Francis Lawrence, le compositeur James Newton Howard a su mettre à profit son style protéiforme tant salué par les mélomanes. Il avait injecté une grande dose de mélancolie pour le controversé Je suis une Légende (2007), du raffinement pour De l’Eau pour les Eléphants (2011) et avait tapé dans l’épique pour les trois derniers chapitres de la franchise populaire The Hunger Games (2013 -2015). Le thriller d’espionnage Red Sparrow (Le Moineau Rouge) marque ainsi leur sixième collaboration ; ce qui assure « un certain niveau de confiance » selon Howard qui est emmené à se diversifier une fois de plus ! « Nos trois derniers films ont été les derniers volets de Hunger Games. Ce film est complètement différent, il créé un autre type d'excitation et d'anticipation » explique le compositeur. Francis Lawrence se montre à nouveau très impliqué lors de la conception du score, tels Nolan et Zimmer. Pendant la mise en boîte des images, il s’inspire de morceaux classiques comme 'Requiem' de Mozart et 'The Firebird' d'Igor Stravinsky. De son côté, JNH trouve des difficultés à aménager de la place dans son emploi du temps pour illustrer musicalement Red Sparrow : « Francis s'attendait et espérait que j’écrirai assez rapidement et que je commencerai le plus tôt possible de sorte à pouvoir lui fournir de la musique pendant le montage ». termine t’il. Bien heureusement, il ne lui a pas fallu longtemps pour trouver la bonne sensibilité musicale, qui oscille entre tension atmosphérique et lyrique éclatant.

La séquence d'ouverture alterne entre une course-poursuite contre Nate dans les rues de Moscou et une représentation de ballet, avec une Dominika resplendissante qui enflamme la scène. La musique de ballet utilisée est bien une pièce originale élaborée par Howard, qui a dû l'écrire à un rythme prédéterminé : « Nous avons été très précis avec le rythme et les battements par minute. La chorégraphie collait très précisément à un BPM spécifique » explique le réalisateur. Si vous avez vu le film, il est inutile de vous préciser à quel point l’écriture et l’utilisation de cette pièce relèvent d’une grande technicité. Le choix de l’instrumentation s’avère judicieux et on reconnaît promptement les traits de cordes caractéristiques et illustratifs du style de JNH. Dans le métrage, la pièce de Howard se confond astucieusement entre une musique in (pour la danse de Dominika) et une musique off (pour la course-poursuite). On ne sait pas sur quel pied danser ! Dans un premier temps, Lawrence a utilisé 'The Firebird' en fond sonore lors du tournage de la chorégraphie et a ensuite recouvert la scène par la version de Howard. Sa partition célèbre bien évidemment les musiques pour ballet mais présente également des sonorités très…soviétiques ! Un effet recherché par le réalisateur : « l'idée était que James devait se sentir russe, mais il était libre de l'interpréter à sa manière » détaille-t’il. On notera une citation (non volontaire) de son travail sur Maléfique entre 3 min 17 et 3 min 26. L’écoute vient à peine de débuter et je suis déjà médusé par cette ouverture enivrante et intense ! Je ne peux m’empêcher de prolonger l’écoute de ce morceau pour demeurer en pleine béatitude 12 minutes de plus…

Après ce passage grandiose, le score se mue en une sorte de cacophonie qui insuffle une tension palpable au film et qui favorise l’utilisation d’effets sonores tantôt électroniques (‘One Night is All I Ask’, ‘Searching Martha’s Room’) tantôt hermaniens (l’une des références majeures de notre auteur). Une dégringolade abrupte qui propulse le spectateur/auditeur en plein cœur d’une crise d’espionnage. Nous retrouvons les cordes stridentes du Sixième Sens et After Earth dans ‘Take Off Your Dress’ alors que celles de ‘Training’ renvoient à La Neige Tombait sur les Cèdres. Cette orientation musicale perdure jusqu’à la quasi- toute fin de l’album et instaure une ambiance parfois crispante. La plupart de ces morceaux sont relativement courts (1 à 2 min tout au plus) mais peuvent parfois paraître long à l’écoute.

Il est possible d’associer la courte mélodie ouvrant ‘Overture’ et dominant ‘Blonde Suits You’ au thème musical de Dominika Egorova. Ces 5 notes empreintes de mystère et de charme, suffisent à résumer la protagoniste interprétée par Jennifer Lawrence et marquent également quelques apparitions plus anecdotiques dans ‘Searching Nate’s Apartment’ ou encore dans ‘Follow The Train Wherever It Leads You’. Pour illustrer la romance entre Dominika et Nate, Howard emploie un violon lyrique cabalistique (‘Can I Trust You ?’).

‘Didn’t I Do Well ?’ est le ballet final de la partition où s’entremêlent dramaturgie et solennité. Portée par des chœurs robustes et des cordes prédominantes légèrement patriotiques, cette piste aux envolées lyriques absolument absorbantes compte parmi les meilleurs passages du score ! Howard clôture son œuvre avec une pièce de 8 minutes - une variante du déjà-culte 'Overture' - qui apparaîtra lors du générique de fin.

EN BREF : D’une élégance stylistique rare, le score de Red Sparrow fait vibrer des violons tantôt lyriques, tantôt cabalistiques ; qui plonge le spectateur au cœur de la danse ! James Newton Howard appose une fois de plus sa signature musicale de manière indéniable. Sa partition accompagne très justement le récit ; un tantinet longuet, comblant parfois même les vides scénaristiques. Red Sparrow célèbre la musique pour ballet russe mais puise aussi ses influences chez Bernard Hermann ; l’une des références majeures de JNH. Mystérieuse et enveloppante, sa musique explore des thématiques intéressantes et fait dansoter son auditeur (le chef d’œuvre ‘Overture’). Une fois de plus, le compositeur californien fait preuve d’une multiformité musicale admirable et mériterait sans nul doute un sacre doré après 3 décennies de mélodies pour Hollywood !

Red Sparrow - 09/10 - Crítica de Maurits Petri, Publicado en (Neerlandés)
James Newton Howard’s ster is rijzende. Of beter gezegd, zijn ster is eigenlijk al op ongekende hoogte. Het is eenzaam aan de top, zou je bijna kunnen zeggen. Na het ongekende succes van de wereldwijde James Newton Howard 20 Years Tour, brengt hij natuurlijk ook gewoon nog scores uit. Tijdens de tour maakte de maestro al bekend dat er in 2018 VELE projecten zullen volgen en daar kunnen we enkel reikhalzend naar uitkijken. Zeker als ze het kaliber van Red Sparrow hebben. Na het mega succes van Fantastic Beasts, was het dankzij de drukke tour enige tijd stil rondom de componist. Maar wat ondergetekende betreft is hij met deze score op VOLLE sterkte terug en levert zelfs zijn beste werk af in 2 jaar tijd.

Red Sparrow, met superster Jennifer Lawrence, gaat over een Russische geheim agente die moet infiltreren door gebruik te maken van haar lichaam. Haar eerste missie is een CIA agent. Maar dat loopt anders dan gedacht. Een film vol clichés die we wel vaker hebben gezien. Het spel van Lawrence zou een reden kunnen zijn om de bioscoop te kunnen bezoeken. Een andere zeer goede reden is de score.

Eerder was al bekend dat Red Sparrow een klassiekere score van James Newton Howard zou krijgen. En om gelijk met de deur in huis te vallen: de score heeft vrijwel alles wat je van Newton Howard wil horen. En dat begint direct al met de ruim elf minuut durende Overture. Een dromerig in majeur gespeeld thema, met onwaarschijnlijk mooie strijkarrangementen en blazers, vloeit langzaam over in mineur gespeelde militaire muziek. Met zelfs enkele symfonische verwijzingen naar het Russische volkslied. Wat meer dan geniaal is, is hoe Newton Howard ook nog even terug grijpt naar Maleficant en subtiel van die score thema’s van The Army Dances erin stopt. Zeer krachtige muziek, gekenmerkt door een lading modulaties die vele lagen kippenvel veroorzaken.

Wat direct opvalt is dat zelfs de wat rustigere tracks en de underscore, meer dan de moeite waard is om te beluisteren. Voorbeelden daarvan zijn ‘Take Off Your Dress’, waarin Newton Howard ons even aan The Dark Knight doet denken met getokkel en gezaag op snaren. Zelfs wanneer net na enkele minuten muzikaal zeer onrustig en actierijk wordt, blijf je aandachtig luisteren. Het is cue na cue wellicht nog nooit zo verrassend geweest als op Red Sparrow. ‘Arriving At Sparrow School’ doet er zelfs nog een schepje bovenop door de introductie van een machtig mooi koor. In combinatie met het zeer strak gedirigeerde orkest weet je bijna niet wat je overkomt als luisteraar.

Uiteraard ontkomen we niet aan de synthesizer skills van Newton Howard. Te horen in bijvoorbeeld de track ‘Training’. Landscaping in combinatie met de violen zijn intrigerend.
Maar al gauw lopen we tegen een minpuntje aan, want de cd bevat een groot aantal te korte tracks. Tracks die een of anderhalve minuut duren en geen opbouw hebben. Veelal is het ook geen aanvulling op tracks ervoor of erna en staan daardoor los.

‘Didn’t I Do Well’ lijkt te beginnen als Lacrimosa van Mozart. Sterker nog, het motiefje is exact hetzelfde. Maar gelukkig laat James Newton Howard dit niet gebeuren en zet al snel het koor in en worden we getrakteerd op wederom muziek die zijn weerga niet kent. Unheimisch, ongekend mooie thematiek, cues die je nooit meer los zullen laten. De modulaties, veelal in combinatie met het aanzwellende koor en de strijkers zijn subliem.

Als je denkt dat het allemaal voorbij is, volgt daar de een na langste track van het album ‘End Titles’. Simpelweg de beste track van het album. Gewoon aanzetten en een dag lang op repeat beluisteren. En daarmee komen we tot een relatief gezien snel oordeel. Red Sparrow kan gerekend worden tot een der beste scores van James Newton Howard. Hij heeft geluisterd naar zijn fans en zijn statistieken bekeken. Door slim gebruik te maken van vondsten uit zijn beste werken, schotelt hij ons de beste score van 2018 voor (?). Oscarmateriaal wat vriend en vijand zal bekoren. Hulde voor het orkest en hoe de score gemixt is. En heel fijn: de one-takers zijn terug. De dirigerende James Newton Howard laat het orkest tot het naadje gaan en daar voorbij. Krakende en springende snaren en ademende violisten zijn gewoon in de mix gelaten en dat geeft iets organisch en iets menselijks. In al het synthesizer en elektronische geweld is Red Sparrow een verademing. Zoals eerder gezegd: de wat kortere en nietszeggende tracks zijn jammer en overbodig. Maar…als luisteraar zul je als snel tot de ontdekking komen dat Newton Howard inderdaad een overeenkomst met Mozart heeft: hij is namelijk de Mozart van de 21e eeuw.
En dat gegeven alleen al maakt deze score tot een waar fenomeen. De Academy Award heeft nu al spijt als haren op het hoofd om iemand anders het gouden beeldje te geven….waarvan akte.
Trailer:





Otras versiones de Red Sparrow (2018):

Red Sparrow (2018)


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