The Agony and the Ecstasy
The Deluxe Edition


Varèse Sarabande Club (0030209103226)
Movie | Release date: 12/06/2004 | Film release: 1965 | Format: CD
Limited edition: 3000 copies
 

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# Track   Duration
The Artist Who Did Not Want To Paint - Music Composed and Conducted by Jerry Goldsmith
1.Prologue12:23
2.Prelude — The Mountains of Carrara2:57
3.The Warrior Pope2:40
4.The Medici2:34
5.The Sketch of The Apostles3:12
6.Sketch Destroyed:58
7.Genesis3:36
8.The Sistine Chapel3:01
9.The Contessina2:47
10.Painting2:26
11.The Agony3:58
12.Michelangelo’s Recovery2:13
13.Festivity In St. Peter’s Square2:07
14.Julius In The Garden1:23
15.Back To St. Peter’s:56
16.The War2:06
17.The Battle Field1:58
18.New Cardinal2:00
19.Michelangelo’s Magnificent Achievement and Finale2:39
20.To Work, My Son (Finale)1:05
 
Bonus Track:
21.Mountain Scene3:37
 60:36
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The Agony and the Ecstasy - 07/10 - Review of FilmClassic Soundtrack , submitted at (French)
The Agony and the Ecstasy’ (fr : L’extase et l’agonie) explore la relation conflictuelle entre ‘Jules II’, alias le Pape guerrier et l’artisan ‘Michelangelo Buonarroti’.

Pour bien comprendre le film, la production a jugé bon qu’elle devait « éduquer » le public sur l’identité de ‘Michel-Ange’. Qui était il vraiment ? Était ce vraiment un sculpteur qui n’a jamais voulu peindre ? À cette fin, ils ont conçu un documentaire intitulé « L’artiste qui ne voulait pas peindre ». Avec la recommandation d’Alex North’, c’est ‘Jerry Goldsmith’, un talent émergent, qui fut embauché pour le projet. Le documentaire de douze minutes et demie serait composé de cinq mouvements : ‘Rome’, ‘Florence’, ‘Le Crucifix’, ‘Les Géants de Pierre’ et ‘L’Agonie de la Création’. ‘Goldsmith’ a relevé cette mission avec brillance et a fourni une très belle partition.

Ayant déjà réaliser une critique musicale sur la partition d’Alex North, je voudrais ici apporter une précision sur cette composition signé ‘Jerry Goldsmith’. Si vous êtes désireux d’en savoir plus sur la musique du film en lui-même, je vous invite alors à vous diriger sur la page de l’édition LP originale.

Nous commençons magnifiquement avec ‘Rome’, le premier mouvement, qui s’ouvre sur une vue panoramique de la basilique Saint-Pierre dont la construction a été supervisée par ‘Michel-Ange’ en 1546. Elle débute par une fanfare en répétant des déclarations de huit notes par des cornes lentes et emphatiques ornées de cloches résonnantes et répondues par des bois solennels. Moins d’une minute plus tard, c’est l’introduction de harpes apaisantes, alto et flûte flottante qui offrent une merveilleuse pastorale. Puis c’est au tour d’un violon solo, qui inaugure une danse alors que nous entendons parler de sa jeunesse à Caprese (Toscane). S’ensuit, une flûte, un violon et un tambourin qui nous transporte dans les fosses de marbre où nous entendons comment ‘Michel-Ange’ a appris son métier en le regardant ciseler. Nous concluons enfin par une gracieuse descente à la flûte, qui soutient la narration en parlant de ses objectifs pour donner vie au marbre.

Une fanfare du Souvenir résonne et nous entamons ‘Florence’, capitale culturelle de l’Italie dominée en 1469 par le mécène suprême des arts, le prince ‘Lorenzo’. Une délicate séquence composée de violons frémissent, soutenus par des cordes qui accompagnent la narration, qui raconte comment ‘Michel-Ange’ a découvert l’utilisation merveilleuse du marbre dans l’architecture et comment il sentait que son destin résidait dans le fait d’être un sculpteur et non un peintre. Trois minutes plus tard, une pastorale composée de violon frémissant soutient des vues de sa première sculpture créée à l’âge de 15 ans, un relief de bar appelé la ‘Madonna della scala’. Puis, l’intensification arrive par un nouveau motif composé par des bois à registres bas et du violon à nouveau couronné d’une fanfare qui soutient la vue de sa deuxième œuvre à l’âge de 17 ans, la sculpture massive intitulée ‘Battaglia dei centauri’. Cette séquence s’achève par des cordes qui inaugurent la fanfare du souvenir alors que nous voyons sa statue ‘Bacchus’, achetée par un riche banquier romain.

Avec ‘Le Crucifix’, une sculpture commandée pour les Dominicains de Santo Spiritu, ‘Goldsmith introduit des cordes solennelles inaugurant une fanfare, embellie par des cors alors que nous témoignons de l’imposant crucifix. Des violons trémolos avec un thème éthéré du souvenir en contrepoint se déploient, passant le morceau le plus magnifique du ‘Prologue’ alors qu’un violon ardent joue avec en contrepoint. La mélodie se déplace ensuite vers les bois et les cordes alors que nous voyons, une par une, ses magnifiques créations; la ‘Pietà’, ‘Saint Matthieu’ et la ‘Sagrestia Nuova’ où nous atteignons un point culminant merveilleux lorsque nous voyons le ‘tombeau de Jules II’ de loin. Puis, vient l’introduction de flûtes flottantes, de violon frémissant et des cordes qui soutient un examen plus approfondi des détails raffinés de la tombe. Nous concluons plus de six minutes plus tard, alors que des cornes révèlent la beauté de la ‘Madonna Medici’.

Nous sommes à plus de sept minutes de cette ensemble de partition qui en compte douze et nous enchaînons avec ‘Les Géants de Pierre’ porté au sommet de cordes révérencieuses avec un ornement de harpe alors que nous voyons la magnificence de la ‘Pieta du Domo’ à Florence. S’ensuit, un violon solo exquis qui reprend la ligne mélodique, toujours avec soutenue par une harpe, qui nous drape d’auras, alors que nous voyons le détail impeccable de la ‘Pieta de Palestrina ‘. Puis nous examinons l’une des œuvres immortelles de ‘Michel-Ange’ : Son ‘David’. Lentement, nous commençons un crescendo époustouflant d’émerveillement alors que nous montons et culminons avec le détail facial impeccable conçu par ‘Michel-Ange’. À neuf minutes, nous nous enchaînons avec le ‘Moïse’ que l’artiste a sculpté pour la tombe du pape Jules II. À neuf minutes, un glockenspiel inaugure un hommage exquis par cordes révérencieuses ainsi que des bois au chef-d’œuvre de ‘Michel-Ange’, intitulé la ‘Pieta’, où nous voyons le pathos du Christ mort et le repos serein de ‘Marie’. Nous terminons à dix minutes vingt avec des arpèges de harpe, qui inaugurent un « delicato » de flûte solo alors que nous voyons son ‘Pietà Rondanini’, sur lequel il a travaillé jusqu’au dernier jour de sa vie.

Pour la dernière minute, nous enchaînons dans ‘L’Agonie de la Création’ au sommet de cordes révérencieuses, qui montent avec passion. ‘Goldsmith’ offre ici une exposition évocatrice alors que nous voyons la magnificence de l’héritage architectural de ‘Michel-Ange’ de la cathédrale Saint-Pierre, qui se déroule sous nos yeux. Alors que la caméra révèle l’extérieur de la chapelle Sixtine, le narrateur déclare: « Le chef-d’œuvre d’un sculpteur qui ne voulait pas peindre ». Nous concluons avec des déclarations de la fanfare du souvenir par des cors, rejoints par des cordes resplendissantes alors que nous contemplons avec une dernière reprise de la fanfare, le génie qu’était Michel-Ange.

Je salue ici le label américain ‘Varese Sarabande’ pour son initiative d’avoir jumelé à la fois la partition complète d’Alex North’ avec celle intitulée ‘Prologue’ de ‘Jerry Goldsmith’.

FilmClassic

The Agony and the Ecstasy - 10/10 - Review of Tom Daish, submitted at (English)
I had always imagined Alex North to wrote dissonant music that wasn't at all easy on the ear. I guess I must have come to that conclusion having (several years ago) listened to his rejected score to Kubrick's 2001. To realise that Alex North also wrote very melodic music, but that he also wrote jazz and perhaps his most popular piece, the song Unchained Melody. Then again, how many people would actually realise that he wrote it? Virtually no-one I would suspect. With The Agony and the Ecstasy, North wrote a very melodic score that is actually very simple in many ways. The chords are all based on the modal scale, which often gives the impression that the thing is a hymn without words, full of very hymnal cadences. The entire score is also in 4/4 time which reinforces this feeling further. Of course, North was entirely justified in this approach since the conflict between religion and art is essentially what the story is about, therefore making the music beautiful and quasi-religious sounding at the same time has perhaps more meaning that it would at first seem.

I was very surprised at the simple-sounding nature of the score as well as the somewhat modern sound it has. It is as far from the Miklos Rosza epic sound that you can get, but it still sounds very grand and spacious, presumably the mirroring the great expanse of ceiling that Michelangelo had to work on. There are quite a few set pieces in this score, self contained works that work both in and out of context. The first is the amazing Main Title which starts with organ chords and gradually builds as the main melodic material is introduced to bring the track to a splendidly brassy conclusion. According to the comprehensive liner notes, The First Battle is a Battaglia which is apparently derived from a 14th Century Caccia where the instrumental voices chase each other. This is certainly evident as various sections of the orchestra sound off fanfares with each other. Festivity is indeed the joyous piece as it's name implies, but it doesn't in any ruin the more cerebral mood laid down by the intervening cues.

I think that most younger soundtrack fans will be surprised at the overall soundscape of this score as it doesn't sound like 'old' film music in any way, in fact it has a very timeless quality to it. I could be imagining, but there sound like hints of what Jerry Goldsmith was to write years after the score was composed. On that very subject, Goldsmith does a fine presentation of North's music and the RSNO's playing is generally excellent. Perhaps the only addition they could have made would have been to add the Prologue music that Goldsmith himself wrote as a prelude to the original film which was a tour of art galleries showing Michelangelo's work (apparently, in case the viewers confused this Michelangelo with another one - easily done I'm sure). Otherwise, another extremely highly recommended album.

Other releases of The Agony and the Ecstasy (1965):

Agony and the Ecstasy, The (1998)
Agony and the Ecstasy, The (1965)
Rio Conchos / The Agony and the Ecstacy (2021)
Agony And The Ecstasy, The (1965)

Soundtracks from the collection: Limited Editions

Proud Men / To Heal a Nation (2008)
Seven-Ups / The Verdict, The (2007)
I.Q. / Seconds (2009)
Mole, The (2009)
Anne of the Indies / Man on a Tightrope (2007)
Superman: The Animated Series (2014)
Roughing It (2003)
Flesh+Blood (2014)
Chitty Chitty Bang Bang (2011)
Something Wicked This Way Comes (2009)


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