Snow White and the Huntsman


Universal Republic (0602537050048)
Film | Date de sortie: 29/05/2012 | Sortie du film: 2012 | Type: CD, Téléchargement
 

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# Track Artiste/Compositeur Duration
1.Snow White3:24
2.I’ll Take Your Throne3:00
3.Tower Prayers2:08
4.Something For What Ails You3:26
5.Escape From The Tower2:33
6.You Failed Me, Finn3:03
7.White Horse2:03
8.Journey To Fenland3:39
9.Fenland In Flames4:08
10.Sanctuary2:33
11.White Hart6:37
12.GonePerformed By Ionna Gika3:10
13.I Remember That Trick5:35
14.Death Favors No Man6:13
15.Warriors On The Beach3:31
16.You Can Not Defeat Me2:35
17.You Can’t Have My Heart1:57
18.Coronation2:06
19.Breath Of LifeFlorence + The Machine4:11
 65:52
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Snow White and the Huntsman - 07/10 - Critique de Mattis B., ajouté le (Français)
Premier long métrage de Rupert Sanders, Snow White and the Huntsman est une adaptation du célèbre conte des Frères Grimm, Snow White (Blanche-Neige) déjà adapté dans plusieurs films dont le plus marquant reste sans aucun doute celui de Disney en 1937. Le réalisateur, il y a peu encore inconnu du grand public, se voit déjà offrir un sujet fort ambitieux puisqu’il s’agit ici d’une adaptation guerrière et épique du conte. J’appréhendais énormément ce long-métrage, je craignais que cela ne pourrisse l’histoire de Blanche-Neige en ne la transformant qu’en un vulgaire divertissement Hollywoodien sanglant et sans prétention. Heureusement, plus de peur que de mal. On remarque déjà chez le jeune réalisateur une forte habileté derrière la caméra et on sent une envie de bien faire avec de bons plans, une direction d’acteur très honorable et d’impressionnants effets spéciaux. La base de l’histoire est suivie, mais le réalisateur n’hésite pas à y apporter quelques nouveautés rarement déplaisantes. On n’évite cependant pas les vieux clichés du genre, avec des moments épiques convenus et des allusions fantastiques au Seigneur des anneaux ou aux films d’Hayao Miyazaki. Snow White and the Huntsman reste un bon film dans le genre, bien réalisé et agréable à regarder, mais manquant encore un peu de personnalité.

Le réalisateur semble avoir pris certaines exigences au niveau musical puisqu’il fait appel à un des meilleurs compositeurs œuvrant à ce jour, James Newton Howard qui vient d’achever quelques mois plus tôt le sympa mais sans plus The Hunger Games. Ici, le compositeur semble s’être laissé emballer par le sujet et nous livre une B.O. de grande qualité mélangeant le traditionnel orchestre aux traditionnels synthétiseurs.

!!! Attention, certains éléments majeurs de l’histoire vont être dévoilés par la suite,
il est fortement conseillé d’avoir vu le film avant lire ce qui va suivre !!!

Le thème principal associé à Blanche-Neige est présenté par des cors au début du très beau 'Snow White', piste introductive du film dont le piano à lui seul apporte déjà toute la magie du conte. Les instruments à cordes se joignent ensuite au mouvement jusqu’à ce que le thème de Blanche-Neige soit repris plus amplement par des violons rappelant certaines reprises du thème principal de I Am Legend.

La terrible reine possède un thème diabolique très pesant entendu pour la première fois dans 'Something For What Ails You'. Ces deux notes ascendantes suivies de deux notes descendantes correspondent au côté machiavélique de celle-ci. Finn, le frère de cette reine possède lui aussi son propre motif entendu dans 'I’ll Take Your Throne' ou encore dans 'White Horse' (vers 1:02). Quand on s’y approche d’un peu plus près, on remarque qu’il s’agit en fait de la moitié du thème de sa sœur, et en effet dans le film, la reine doit la moitié de ses pouvoirs maléfiques à son frère grâce à une sorte de pacte qu’ils ont fait entre eux.

Les morceaux d’actions sont peut-être ce qu’il y a de moins innovant dans l’album. Cependant, difficile de ne pas se laisser emporter par le redoutable 'Escape From The Tower' lorsque Blanche-Neige s’évade du château, ou encore par l’agressif 'White Horse'. Deux grands moments orchestraux où les percussions mitraillent sous un flot déchaîné de cuivres entraînants.

James Newton Howard prend également au sérieux les moments plus intimes du score comme dans l’incontournable 'You Failed Me, Finn' où un violon soliste et un doux piano font penser à un mélange entre The Village et Lady in the Water. Puis l’on appréciera la douceur qui règne avec 'Journey To Fenland' alors que Blanche-Neige et le Chasseur se réfugie dans un paisible village dont les habitants cherchent à se protéger de la reine. La tristesse prend également une place importante et est transcrite comme elle se doit dans 'Fenland In Flames', 'I Remember That Trick' ou encore la petite chanson poussée par un des nains dans 'Gone' à la mort d’un des leurs. Une douce voix féminine vient par la suite prolonger avec nostalgie ce chant de tristesse.

On retrouve la fantaisie de la première piste avec 'Sanctuary'. Blanche-Neige arrive alors dans un endroit encore non dévasté par la reine et où créatures fantastiques vivent en harmonie dans ce lieu paradisiaque. On retrouve l'élégant piano puis l’orchestre toujours aussi bien exploité joue ce qui pourrait presque être un nouveau thème après 1:57 bien qu’il n’apparaisse qu’une seule fois dans l’album. La magie se poursuit avec 'White Hart' alors que Blanche-Neige se met à suivre des petits elfes à travers la forêt avant de rencontrer un cerf majestueux (tout droit sorti de Princess Mononoke). A ce moment-là, le thème de Blanche-Neige va être repris dans toute sa splendeur dans un élan d’espoir. A 4:25, la sérénité se rompt brutalement avec des sons synthétiques semblant montrer que la pureté de la nature est maintenant dérangée par les hommes voulant tout dévaster sur leur passage. Tout semble alors désordonné avec des cuivres agressifs et des percussions brutales.

'Death Favors No Man' débute dans la tristesse dans une ambiance synthétique grave alors que l’on pense que Blanche-Neige est morte. Puis le thème principal émerge et peu à peu le morceau gagne en intensité, signe d'un retour à la vie.

Nous voici enfin au tant attendu déchaînement final alors que tout le monde se révolte contre la reine dans une ultime bataille. 'Warriors On The Beach' est ainsi un remarquable morceau guerrier alliant habilement cuivres, percussions et chœurs. Seul regret, ces éternels ostinati qui sont du vu et du revu et dont JNH aurait pu facilement se passer. Le résultat et néanmoins tout à fait spectaculaire et devrait ravir les adeptes à la secte Remote Control. Notons également le thème de la sorcière qui revient à 0:37 et qui se poursuivra dans un admirablement dérangeant 'You Can Not Defeat Me'.

'You Can’t Have My Heart' nous replonge dans la tristesse avec des violons qui peu à peu prennent une forme de délivrance et de soulagement alors que l’on assiste à la mort de la méchante reine. Enfin, Blanche-Neige est sacrée nouvelle reine dans la dernière scène du film accompagnée par le serein 'Coronation'. Le thème de Blanche-Neige nous revient en force à la fin dans une variation inédite et victorieuse.

Snow White and the Huntsman marque un retour en force James Newton Howard qui ne nous avait plus offert un tel score depuis The Last Airbender. Ses récents travaux manquaient cruellement de personnalité et commençaient même à inquiéter plus d’un fan (au hasard, Green Lantern). Le revoici enfin avec une nouvelle partition riche et plus subtile qu’elle ne pourrait paraitre à première écoute. Le professionnalisme du compositeur se fait largement ressentir dans l’écriture. Les morceaux tristes et actifs sont encore un peu quelconques mais tout de même très prenant à l’écran et sur le CD. Nous n’atteignons certes pas l’inventivité ou l’excellence des musiques pour les films de M. Night Shyamalan, néanmoins Snow White and the Huntsman a une agréable tendance à s’orienter de ce côté-ci. Nous voici sans conteste face à une des meilleures partitions de cette première moitié d’année. Fortement recommandé.
Snow White and the Huntsman - 09/10 - Critique de Mitchell Tijsen, ajouté le (Néerlandais)
Snow White, een heerlijk sprookje die verfilmd werd in 1937. Dik 70 jaar later is het sprookje nog steeds zeer bekend maar wilde men dit alles in een ander jasje steken. Voor deze verrassende film hadden ze goede acteurs in huis, de beste decorbouwers etc. Het enige wat toen nog een gemis was, was een uitstekende en vooral verrassende componist. Ik had mijn twijfels, welke componist kon nou een sprookjesachtig sfeertje componeren met voldoende actie en drama? Toen ik hoorde dat James Newton Howard bij het project betrokken werd wist ik gewoon dat dit helemaal goed ging komen. Zijn professionaliteit en ervaring kan wel eens heel goed van pas komen voor deze film!

Ik beschouw deze score als een echt pareltje. Na het beluisteren van The Hunger Games vond ik al dat we te maken hadden met een sterk thema, het Snow White thema is zelfs veel beter! Het begint al bij ‘Snow White’, een betere opening had ik me niet kunnen wensen. Rustig, mooi maar vooral sprookjesachtig! Naast het sprookjesachtige gedeelte op deze score maakt Howard ook genoeg plaats voor andere elementen. Hij bezorgd ons kippenvel met zijn koor en heerlijke strijkers. Ook de blaasinstrumenten krijgen ruimschoots aandacht in tracks zoals ‘Escape from the Tower’. Het zijn toch wel bepaalde tracks op deze score die er echt uitspringen. Ook zijn er een paar die aan je neus voorbij gaan zonder dat je het weet, en dat is toch wel zonde. Sommigen hebben nét niet datgene wat ‘Snow White’ juist wel had. Het is lastig om uit te leggen maar Howard heeft ondanks een paar doodgewone tracks wel gezorgd voor een paar memorabele momenten. De viool treedt af en toe ook op de voorgrond, heerlijke flashbacks van The Village komen in mijn hoofd. Aangezien dat 1 van de beste scores van Howard is, is dat zeker een goed teken!

Helaas te weinig koor aangezien er in de film veel meer van was. Het is zonde dat ze dat niet op de score laten horen, gelukkig kan Howard wel zijn ding doen zonder het koor-element. Zijn mooie melodieën zorgen er voor dat dit een score is met klasse. The Hunger Games had een leuk thema maar daarmee was ook alles gezegd, ik begin steeds meer aan mijn cijfer voor die score te twijfelen. Snow White is van een geheel ander niveau, je kan eigenlijk wel stellen dat James Newton Howard terug is! Na enkele teleurstellingen zoals The Green Lantern is Howard weer helemaal in zijn element, Snow White is echt een film voor een componist zoals Howard. Ook de piano die er af en toe doorheen komt zorgt weer voor kippenvel. Hieronder even 1 van mijn favoriete tracks uitgebreid beschreven...

Sanctuary
De track begint rustig met een piano en de nodige achtergrondinstrumenten.
De piano zorgt ervoor dat je aandacht erbij blijft. Ook de strijkers die op de achtergrond klinken komen rond de 1:00 minuut op een sprookjesachtige manier naar de voorgrond. De piano en de strijkers nemen het steeds van elkaar over en zorgen voor een afwisselende track. Rond de 1:55 minuten klinken zowel de violen als de piano glorieus, Sanctuary had nog mooier kunnen zijn met eventueel een koor maar ondanks dat is het 1 van mijn favoriete tracks op deze score.

Bij een trailer die ontzettend veel actie laat zien is de score van Howard toch nog erg aan de rustige kant. Er staan inderdaad een paar echte actie composities op deze score, toch zijn er zeker een aantal tracks die genoeg rust met zich meebrengen. Genoeg rust dankzij een vioolsolo, een pianosolo of juist de strijkers die rustig een melodie spelen. De score is gevarieerd, sprookjesachtig en zorgt voor een paar kippenvel momenten. Het hoofdthema komt af en toe ook om het hoekje kijken, ook dit is mooi om te horen. Ik houd er altijd van wanneer een componist met een hoofdthema werkt en deze ook in verscheidende tracks terug brengt. Horner heeft hier af en toe moeite mee, bij hem wordt het vaak saai en vermoeiend omdat hij het té vaak laat terugkeren. Howard weet een duidelijke lijn te scheppen en zorgt ervoor dat het hoofdthema niet te vaak terugkeert maar ook niet te weinig. Af en toe doen sommige composities me denken aan John Williams, en om daarmee vergeleken te worden is natuurlijk nooit verkeerd.

Deze recensie had nog wel veel langer kunnen zijn maar volgens mij heb ik genoeg worden vrij gemaakt over deze score van Howard. Een 8 of 9, ik twijfel! Uiteindelijk vind ik een 9 een betere beloning omdat ik de score verrassend vind en sprookjesachtige. Howard is helemaal in zijn element en dat laat hij vaak genoeg horen. Om het af te sluiten zorgt Howard voor een geweldige track genaamd: Coronation. Het begint rustig, onschuldig en we horen het hoofdthema nogmaals. Maar rond de 1:32 minuten gaat Howard los, horen we orgel en natuurlijk dat heerlijke hoofdthema.

Een geslaagde sprookjesmissie van Howard!
Snow White and the Huntsman - 07/10 - Critique de Marc Chauvin, ajouté le (Français)
Pour son premier film, le réalisateur Rupert Sanders s’est adjoint les services de James Newton Howard, sans doute par les conseils avisés de Joe Roth, producteur du film ayant collaboré à de nombreuses reprises avec le compositeur californien.
A première vue, James Newton Howard semble être en possession d’un matériau qui lui donne l’opportunité de créer un score résolument ambitieux et qui peut lui permettre de retrouver une certaine inspiration qui lui a fait défaut ces derniers temps. Au premier abord, James Newton Howard semble l’avoir retrouvé et cela notamment dès la première piste qui ouvre de façon solennelle l’album. On pense à l’ouverture de ‘I am Legend’ avec cette trompette solennelle. Là, ou le compositeur semble être en possession de ses moyens, ce sont lors des passages plus intimes et mélancoliques ou il convoque ses travaux pour ‘Peter Pan’ ou encore ‘The Village’. Les morceaux « Sancturay » ou encore « White Heart » sont un bel exemple de lyrisme contenu à la fois empreint de magie et de noblesse. Comme toujours avec le compositeur, c’est la force émotionnelle de certains morceaux qui font la différence et qui rehausse le niveau. Le très beau « Death favors no man » est un exemple frappant de majesté et de lyrisme contenu. On notera aussi le soin apporté sur certains morceaux aux pupitres et à la belle place accordés aux bois et aux cuivres.
Si les moments de magies et d’émotions sont présents le long de l’album, les morceaux d’actions viennent ponctuer, parfois de façon rageur, la partition de Snow White and The Huntsman. Tout d’abord avec « Escape from the Tower » qui ouvre le bal avec ses percussions et ses ostinatos de cordes . Encore une fois, et c’est là le point faible du score, c’est cette façon constante et assez pénible à vrai dire, d’adopter ce sempiternel son que l’on entend depuis trop longtemps maintenant, à savoir le style action/moderne de chez Remote Control. C’est loin d’être la première fois que l’on entend çà chez James Newton Howard et cela commence à devenir assez lassant pour ne pas dire agaçant ! Toujours est il que le résultat reste assez efficace, et heureusement la deuxième partie du morceaux prend une autre ampleur grâce à un puissant et héroïque motif joué par les cuivres et accompagnés par des chœurs. Autre gros morceaux d’actions avec le puissant « Warriors on the beach » qui débute de façon soutenu grâce à une rythmique de percussions puissante, rejoint par la suite par une large section de cordes et de vents. Encore une fois, ce morceau n’échappe pas à un certain automatisme hérité de cher Remote Control, mais « Warriors on the beach » arrive tout de même à se démarquer par sa puissance et un son résolument guerrier. Des chœurs chantés en latin soulignent et ponctuent le morceau en lui conférant un supplément à la fois héroïque et déterminé .

On retiendra au final que c’est surtout les passages plus lyriques, à la fois empreints de magie et d’émotions qui rehaussent l’album même si certains morceaux comme « Sanctuary » ou « Death favors no man » aussi beaux et poétiques soient ils, manquent dans l’ensemble véritablement de souffle. Et c’est ce qui manque réellement à la partition de James Newton Howard, d’un véritable souffle épique et d’une réelle puissance thématique, car si l’ensemble s’avère de bonne facture et arrive à nous emporter lors de certains passages par un lyrisme assez plaisant, c’est encore trop faiblard pour vraiment irradier ou faire décoller totalement l’album.
C’est donc une partition qui possède de belles qualités mais qui ne parvient jamais vraiment à satisfaire une véritable ambition et qui n’utilise pas son vrai potentiel. En résulte un album assez inégal, due en partie par certains passages d’actions assez standards, et par des moments trop parasités par des effets sonores inutiles.
Le Snow White and the Huntsman de James Newton Howard est pas mal, mais cela aurait pu être bien meilleur !
Snow White and the Huntsman - 08/10 - Critique de Maurits Petri, ajouté le (Néerlandais)
De staat van dienst van componist James Newton Howard is met geen pen te beschrijven. Bijna geen andere componist produceerde zoveel goede scores. Het zou de maestro tekort doen hier slechts enkele van zijn pareltjes op te sommen.
Met Snow White and the Huntsman voegt Newton Howard wederom een score toe aan zijn veel bewogen en geprezen oeuvre. Al lijkt hij ditmaal niet helemaal in een bloedvorm te zijn.

Wat al wel vast staat, is dat deze nieuwste verfilming van Sneeuwwitje voor veel vuurwerk zal gaan zorgen in menig Box Office. Met de Zuid Afrikaanse actrice Charlize Theron (die overigens nog een aardig woordje Zuid Afrikaans en Nederlands spreekt) in de rol van de boze stiefmoeder is dit de meest duistere verfilming ooit, van het geliefde sprookje.
James Newton Howard had, in tegenstelling tot bijvoorbeeld The Hunger Games, gelukkig meer tijd voor de productie van deze score. Om gelijk met de deur in huis te vallen. Het hoofdthema, wat direct in de eerste track wordt prijs gegeven is er eentje om nooit meer los te laten. Betoverend, magnifiek en ongelooflijk mooi! Thematiek waar James Newton Howard bekend mee is geworden. Hemels piano- en vioolspel, een zacht koor, de nodige opbouw met synthesizers en natuurlijk die bekende appetizer voordat de daadwerkelijke actie losbarst.

Maar eerst enige verbazing om tracks als 'Tower Prayers', die erg in contrast staan met al het moois. Op mooi pianospel na, een onwijs saaie track. Een track die qua synthesizers en effecten enorm veel leunt op Green Lantern. Gelukkig laat Newton Howard de hel professioneel losbarsten in 'Escape from the Tower'. Hij doet dat met een overdonderende beat, een heftige percussielijn en een orkest wat tot het uiterste wordt gedreven. Opvallend zijn de suizende geluidseffecten, die ook weer rechtstreeks van Green Lantern lijken te komen. Gelukkig is de finale van deze track, met toevoeging van een groots koor, een verademing en luistert heerlijk weg.

Over koor gesproken. Ook Snow White and the Huntsman is onderhevig aan bezuinigingen. Al eerder werden er cues van het koor van de score gehaald bij The Last Airbender, om de kosten te drukken. Na het zien van de film zal je erachter komen dat dit helaas ook het geval is bij Sneeuwwitje. Het album bevat veel minder koor dan er in de film is te horen. Een compleet kerkelijk stuk score, in een van de sleutelscènes aan het begin van de prent, is zelfs helemaal NIET terug te vinden. En wanneer er wel koor is te horen, lijkt dit ver op de achtergrond te zijn gemixt.

Gelukkig kan James Newton Howard ook prima zonder koor uit de voeten en laat dit vooral horen in tracks als 'Sanctuary' en 'White Hart'. De twee allermooiste tracks van het album. Hemelse thematiek voeren je mee, de dromerige strijkers doen je wegdromen. In 'Warriors on the Beach' weer de waanzinnige actiemuziek. Deze track is in de film velen malen langer en heftiger. Gelukkig is er nog genoeg koor bewaard gebleven om van te genieten.

Snow White and the Huntsman is zo'n typische James Newton Howard, met alle elementen die het zo'n genot maken om naar te luisteren. Al is het recyclen van bepaalde samples uit bijvoorbeeld Green Lantern en The Hunger Games iets te opvallend en het grotendeels verwijderen van het koor eeuwig zonde. Sommige prachtige thema's die Newton Howard schreef voor Sneeuwwitje hebben namelijk koor nodig, waardoor het hier en daar erg kaal aandoet. Een geplukte en geschoren score is niet altijd een goed idee. Daar tegenover biedt Snow White and the Huntsman genoeg luisterplezier voor de ultieme filmmuziek ervaring!
Snow White and the Huntsman - 10/10 - Critique de John Mansell, ajouté le (Anglais)
This I have to say straight away is a wonderful score, each time I hear a new work from James Newton Howard I think “That’s his best”. Then along comes another and I say the same thing, this is because he is probably one of the most consistently good composers that is working in film today. SNOW WHITE AND THE HUNTSMAN is a real blockbusting action packed movie and Newton Howard has produced a score that matches the action supremely. The soundtrack also contains some of the most emotive and heartrending compositions that I have heard in a long while. The composer creating magical and mysterious themes which enthral and excite the listener. The opening track, SNOW WHITE begins with a faraway and lonely sounding horn which plaintively but effectively establishes an atmosphere of solitude, this all to brief introduction melts away and is replaced by sparingly utilized piano laced with a shimmering sound that creates a magical atmosphere alongside fleeting interludes from violin that are underlined by darker sounding strings which infuse a more ominous sound into the composition. But we still hear the more emotive and melancholy sounding theme that eventually rises above the darker elements bringing poignancy and light back into the piece. The composer utilizing warm sounding strings, woods and horn to further establish the theme. Track number 2, I’LL TAKE YOUR THRONE, is a more threatening and powerfully urgent piece the composer combining symphonic and electronic to create a threatening and tension filled composition the emphasise being put upon the utilization of snarling brass which is supported and augmented by booming percussion and authoritative sounding strings, the cue does subside part way through and is handed to less aggressive strings which take the cue to its conclusion. Track three TOWER PRAYERS, includes a particularly unsettling beginning which is a one note motif being repeated at roughly 5 second intervals this is joined by a lonely sounding woodwind that in turn gives way to delicately placed piano underlined by strings which are sinewy in their sound plus the composer subtly adds to the mix a low percussive element that creates an overall atmosphere of unease. For me track number eleven is the highlight of the score THE WHITE HART is a delicate and emotive piece, strings underline solo piano and an almost shimmering effect these segue into a delightful and heart felt violin solo which is supported by the string section and punctuated with woodwind, a horn is added which conjures up a feeling of security and brings much to the composition, the string section then return and perform a sumptuous and lush sounding theme which strikes at the heart strings, this luxurious sound is interrupted abruptly by jagged sounding strings and synthetics and embellished by brass and harsh sounding string stabs which stride forward and take control of the proceedings creating a taught and dramatic conclusion for this track.

The remainder of the score is equally as good as the tracks I have described and includes two songs, GONE by Ionna Gika and BREATH OF LIFE by Florence and The Machine, both of which are very good. This is probably one of the composers best scores, well to date any way. Well worth adding to your collection, it is epic in proportion and also just as epic in quality. Highly recommended.
Snow White and the Huntsman - 10/10 - Critique de Noï Ortiz Perez, ajouté le (Français)
Tout simplement magnifique !
James Newton Howard, étant mon compositeur préféré ( et dont j'ai eu le privilège de lui parler à Gant ( Belgique ), de lui faire signer l'album 'Dinosaur' en Octobre 2012, et de prendre une photo avec ), a su livrer une bo digne de son nom !
Et celle-ci commence par un thème magistral avec un instrument à cuivre, telle la soundtrack de I am a legend signée par lui aussi, et poursuivie par les cordes ( rien que ce morceau vous prend bien aux tripes ) .
On a aussi quelques morceaux plus mouvementés ( comme escape from the tower, fort sympathique ) .
Mais mes 3 musiques favorites ( à part la première ), qui sont absolument sublimes, sont :
-Fenland in flames ( une piste fort lente, accentuée par un rythme régulier et un petit air épique )
-Sanctuary ( que je considère comme étant le plus beau morceau du cd, les mélodies y sont incroyables )
-White Heart ( qui commence par un éclat de lumière et termine dans la noirceur ).

Ces 3 pistes successives procurent un réel plaisir à l'écoute ( d'ailleurs, je les repasse successivement à chaque fois ) .
Bande-originale de toute beauté, sombre et féérique, Snow White and the huntsman est l'un des meilleurs album de cet artiste si talentueux !
Bande annonce:







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