The Adjustment Bureau
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| # | Track | Artiste/Compositeur | Duration | |
|---|---|---|---|---|
| 1. | Fate | 0:39 | ||
| 2. | Inflection Points | 1:43 | ||
| 3. | Elise | 3:27 | ||
| 4. | Four Elections | 1:46 | ||
| 5. | Future's Bright | Richard Ashcroft | 5:51 | |
| 6. | The Girl on the Bus | 2:43 | ||
| 7. | Square-One Reset | 2:22 | ||
| 8. | Richardson | 2:22 | ||
| 9. | None of Them Are You | 2:16 | ||
| 10. | New Leaf | 2:54 | ||
| 11. | Pier 17 | 3:23 | ||
| 12. | Recalibration | 1:36 | ||
| 13. | The Substrate | 1:32 | ||
| 14. | Real Kiss | 1:54 | ||
| 15. | Fever (Adam Freeland Extended Remix) | Sarah Vaughan | 7:03 | |
| 16. | The Illusion of Free Will | 2:33 | ||
| 17. | Escher Loop | 4:14 | ||
| 18. | The Ripples Must Be Endless (End Title) | 3:15 | ||
| 19. | Are You Ready | Richard Ashcroft | 5:02 | |
| 56:34 |
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Après 'Minority Report', 'Blade Runner', 'I, Robot' ou encore 'Paycheck', Philip K. Dick voit encore une de ses nouvelles portées à l'écran. Mais 'The Adjustment Bureau' se démarque de ses prédécesseurs: loin d'une intrigue de sombre science-fiction, on se retrouve en fait au beau milieu d'une romance, légère et drôle, où la SF n'est qu'un cadre général.
Dans cette optique, Thomas Newman offre une bande originale fourmillante qui sent bon la pop. Guitares légères, piano, basse, rythme discret: la musique est soignée, entraînante et parfaitement accordée avec la mise en scène ('Elise', 'The Girl on the Bus'). Ces compositions distillent une atmosphère qui déteint sur le film et lui apporte une personnalité propre. Avec cette B.O. peu conventionnelle, Thomas Newman a pris l'auditeur à contre-pied, pour un résultat plus que convaincant. Un travail de bonne facture qui fait corps avec le film et reste agréable à écouter ensuite.
Dans cette optique, Thomas Newman offre une bande originale fourmillante qui sent bon la pop. Guitares légères, piano, basse, rythme discret: la musique est soignée, entraînante et parfaitement accordée avec la mise en scène ('Elise', 'The Girl on the Bus'). Ces compositions distillent une atmosphère qui déteint sur le film et lui apporte une personnalité propre. Avec cette B.O. peu conventionnelle, Thomas Newman a pris l'auditeur à contre-pied, pour un résultat plus que convaincant. Un travail de bonne facture qui fait corps avec le film et reste agréable à écouter ensuite.